JONES : Il est temps de fixer les formats des Brier et Scotties du curling

Si on m’offrait une place à table, j’aurais plusieurs recommandations

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Donc, les curleurs canadiens veulent du changement.

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Les curleurs, qui ont remporté une médaille olympique cette année à Pékin, une médaille de bronze et ont été blanchis dans les épreuves masculines et féminines à quatre joueurs il y a quatre ans en Corée, font maintenant campagne pour changer les formats du Brier et du Scotties.

Alors ils devraient.

Les deux événements sont interrompus et doivent être corrigés.

Les joueurs n’appellent pas seulement au changement, ils demandent une voix à la table.

Eh bien, peut-être. Avec réservations.

Les curleurs pensent que c’est le curling qui a rendu les événements spéciaux du Brier et des Scotties.

Et ce n’est pas le cas. Au moins, jusqu’au dernier week-end, ce n’était jamais le curling. C’était toujours le Canadiana et la circonstance unique des athlètes et des fans qui se rendaient au Brier Patch pour prendre une bière ensemble après un match avec une foule presque pleine dans une arène de la LNH.

Vous n’avez pas besoin de regarder au-delà des événements Pinty Slam mettant en vedette toutes les meilleures équipes du Canada ainsi qu’un nombre important d’équipes olympiques d’autres nations.

Personne ne se soucie de qui gagne.

Les résultats sont rarement rapportés.

La fréquentation est irrégulière.

C’est juste du curling. Enlevez les provinces et il ne vous reste plus qu’un gros tournoi.

Il y avait un intérêt particulier pour le Brier qui vient de se terminer cette année à Lethbridge parce que Colton Flasch et son équipe de Saskatoon ont fait les quatre derniers en portant l’écusson provincial de la Saskatchewan sur le dos dans le ridicule groupe de 18 équipes à deux poules.

La Saskatchewan n’a pas gagné de Brier depuis Rick Folk en 1980.

Il y a toujours une rivalité inhérente entre l’Alberta et le Manitoba. Ce dernier, en ce qui concerne le Brier, n’existe plus vraiment depuis un moment. Cette année, le champion en titre du Brier Brendan Botcher d’Edmonton, jouant avec Équipe Canada, et le quadruple champion Kevin Koe, maintenant hors de Calgary, se sont affrontés dans le match 1-2 du système éliminatoire de Page, le vainqueur Koe se qualifiant pour la finale avec un chance de devenir le premier capitaine à en gagner cinq.

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Kevin Martin et Randy Ferbey, d’Edmonton, en ont chacun sauté quatre et Ferbey en a remporté un record de six, dont deux jouant pour Pat Ryan. Avant la finale de dimanche, les équipes représentant l’Alberta ont remporté 11 Briers remontant à 2001, comparativement à un par le Manitoba.

Aux Scotties, cependant, neuf équipes du Manitoba, dont plusieurs portaient l’uniforme d’Équipe Canada, ont remporté des championnats, comparativement à trois de l’Alberta.

Quoi qu’il en soit, c’est une grande partie de celui-ci.

Koe, vêtu de bleu et de jaune, contre Mike McEwen, portant ce buffle stylisé sur le dos au Brier de Tim Horton, est bien plus convaincant que Koe contre McEwen au Pinty’s Slam.

Si on m’offrait une place à la table (et que j’ai couvert 27 Briers, que j’ai récemment été intronisé au Temple de la renommée du curling canadien et que j’ai écrit le livre de table à 99 $, Capitale mondiale du curlingune célébration des 100 ans du sport ici, donc je pourrais même me qualifier), j’aurais plusieurs recommandations.

Pour commencer, je soulignerais qu’Edmonton détient les records de participation à un Brier (281 985), des essais olympiques 175 952) et des championnats du monde (184 970) ainsi que d’autres Briers avec 242 887 et 190 113, mais Curling Canada a gâché le Brier en particulier à tel point qu’ils ne peuvent pas revenir.

Il y a tellement d’espaces libres sur la carte de bingo que TSN a du mal à choisir un jeu à montrer à chaque tirage pendant le tournoi à la ronde.

La première recommandation serait de réduire le champ de 18 à 12 – un de chaque province, Équipe Canada et un représentant les territoires.

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C’est en incluant le Nunavut dans les Scotties et Brier que tout a commencé à mal tourner. Le Nunavut ne pouvait pas gagner un match à l’ancien Boozeman Nonspiel (Newsmans Bonspiel) et encore moins à un Brier (ils en ont perdu un 18-1 cette année). Je recommanderais à Curling Canada d’organiser un événement provincial de style éliminatoire avec une équipe masculine et féminine de chacun des territoires et de l’alterner d’une année à l’autre entre Whitehorse et Yellowknife. Ou vous pourriez les envoyer par avion en Alberta et en faire une partie à valeur ajoutée des finales provinciales que la directrice générale de la Fédération de curling de l’Alberta, Jill Richard, est en train de construire.

Je suggérerais également que Curling Canada ouvre encore plus les règles de résidence pour permettre à plus de curleurs de qualité de concourir pour chaque province. Je veux dire, ils deviennent plutôt burry de toute façon. La capitaine de l’Ontario, Rachel Homan, vit maintenant à Beaumont, en Alberta, avec son mari et ses deux enfants, et la capitaine du Manitoba, Jennifer Jones, vit maintenant en Ontario avec son mari, Brent Laing, et leurs deux enfants.

Je dirais que si vous avez déjà représenté la province à un junior canadien et que vous voulez le représenter à un Scotties, vous êtes éligible.

Je laisserais cela aux associations provinciales. Si Brad Gushue veut recruter trois curleurs de l’Alberta pour jouer avec lui, et que Terre-Neuve est d’accord avec ça, très bien.

Je veux dire, Connor McDavid est de l’Ontario et Leon Draisaitl est de l’Allemagne et nous sommes d’accord avec le fait qu’ils soient des Oilers d’Edmonton.

Courriel : [email protected]

Sur Twitter: @byterryjones

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