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Harlan Ellison écrit dans son introduction à cette nouvelle que « Jeffty Is Five » est l’une de ses « une demi-douzaine d’histoires préférées ». C’est aussi une nouvelle primée, ayant remporté à la fois un Nebula Award en 1977, l’année de sa première publication dans Le magazine de la fantasy et de la science-fiction, et le prix Hugo en 1978. Ellison poursuit en disant que « Jeffty Is Five » « est devenu une image de révérence pour les parties de mon enfance qui étaient joyeuses et sans douleur ».
La lecture de « Jeffty Is Five » fait croire que l’enfance, en particulier ce court laps de temps après qu’un enfant a développé une compréhension du langage et de l’imagination mais avant que l’imagination ne soit accaparée par les exigences d’une scolarité disciplinée, est une période de magie. Cette magie est si forte, croit Ellison, qu’il est triste qu’une personne doive jamais la dépasser. C’est la prémisse de l’histoire, car Jeffty, le principal objectif de l’histoire, ne dépasse jamais l’âge de cinq ans.
À certains égards, Ellison admet qu’une grande partie de lui, même à l’âge adulte, est Jeffty. À travers son histoire, Ellison démontre et encourage les adultes à se souvenir de cet enfant de cinq ans en eux, à se souvenir de la magie malgré le fait qu’ils ont des responsabilités d’adulte et d’autres distractions. Son histoire encourage tout le monde à maintenir, autant que possible, ce sentiment d’innocence et d’admiration qu’un enfant manifeste naturellement. L’histoire encourage également le lecteur à garder vivants les trésors du passé. « Il y a des trésors du passé », écrit Ellison, « qui nous semblent trop rapidement brutalement [sic] prêt à vider l’incinérateur du Progrès. » Sur un ton exagéré, « Jeffty Is Five » rappelle à chacun de ne pas jeter son enfant intérieur au nom du progrès.
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