[ad_1]
La version de ce poème utilisée pour créer ce guide d’étude apparaît dans : Angelou, Maya. Les poèmes complets de Maya Angelou. Maison aléatoire, 1994.
Notez que les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux vers du poème dont les citations sont tirées.
« Still I Rise » est un poème de 43 vers composé de sept quatrains et de deux strophes de fin écrites par Maya Angelou. Le poème a été publié en 1978 dans le cadre du troisième corpus d’Angelou, Et je me lève toujours. « Still I Rise » est le poème inaugural de la troisième partie de Et je me lève toujours. Dans la première partie, Touche-moi, la vie, pas doucement, Angelou présente les façons dont la vie l’a touchée tout en explorant à la fois les complexités de l’amour et la force des femmes face aux abus. Dans la deuxième partie, En voyageant, Angelou emmène le lecteur à travers le Sud des États-Unis, révélant les conditions dans lesquelles elle a été élevée, abordant des questions telles que la toxicomanie, la maltraitance des enfants, la parenté et les conditions des Afro-Américains mal desservis dans le Sud et dans les centres-villes. Dans la troisième partie, Et je me lève toujours, Angelou reflète le thème de la force trouvé dans la première partie, soulignant que malgré tout ce qu’elle a vécu, elle s’élèvera et persévérera. « Still I Rise » a servi de mantra pour beaucoup en raison de l’attrait universel de son thème.
« Still I Rise » commence avec l’orateur confronté à un antagoniste anonyme pour les torts qu’il lui a fait. Dans les premières lignes du poème, l’orateur révèle la nature de son antagoniste et met en évidence certaines des injustices que celui-ci peut lui infliger. Certains de ces actes incluaient une fausse représentation de l’identité réelle de l’orateur ainsi que des actes de violence physique visant l’orateur : « Vous pouvez m’écrire dans l’histoire / Avec vos mensonges amers et tordus / Vous pouvez me piétiner dans la saleté même » (1 -3). Cependant, malgré cette adversité, l’orateur, dès le début du poème, est confiant dans sa force et sa capacité à surmonter n’importe quel obstacle. Ce thème persiste tout au long du poème. Malgré toutes les tentatives visant à faire taire, restreindre et effacer l’oratrice, elle reste, chaque strophe qui passe renforçant, faisant écho et amplifiant les mots et le message de l’oratrice.
[ad_2]
Source link -2