J.D. Vance, vice-président, s’engage à éradiquer les cartels de la drogue aux États-Unis, qu’il accuse d’avoir prospéré sous l’administration Biden. Lors de la CPAC, il a promis de classer ces groupes comme des « organisations terroristes étrangères » et de renforcer les actions contre le trafic de drogue et les crimes liés à l’immigration illégale. Vance a également exprimé son soutien aux familles de victimes, appelant à des mesures plus strictes et soulignant les efforts de l’administration Trump pour contrer ces menaces.
J.D. Vance s’engage à éradiquer les cartels de la drogue
Le vice-président J.D. Vance a affirmé son intention de mettre fin aux activités des cartels de la drogue qui ont eu la possibilité d’opérer « librement » aux États-Unis durant l’administration de l’ancien président Joe Biden. Lors d’une intervention à la Conférence d’action politique conservatrice (CPAC), il a souligné l’engagement de l’administration Trump à combattre ces organisations criminelles ainsi que les trafiquants d’êtres humains aux frontières américano-mexicaines.
Vance a déclaré que la lutte contre ces cartels serait intensifiée, affirmant qu’ils « déclareront la guerre » à ceux qui commettent des actes répréhensibles. À son arrivée au pouvoir, l’administration a classé les cartels comme des « organisations terroristes étrangères », en raison de leur implication dans l’importation de drogues mortelles et d’activités criminelles violentes sur le sol américain.
Un appel aux familles des victimes
Le vice-président a également adressé un message poignant aux familles des victimes, en particulier celles touchées par des crimes commis par des immigrants illégaux. Il a qualifié de « scandaleux » le fait que l’administration Biden ait permis de tels actes et a promis que cette situation changerait sous la direction de Trump. Il a mentionné des cas tragiques, tels que ceux de Laken Riley, Jocelyn Nungaray et Rachel Morin, en soulignant la nécessité d’agir pour empêcher de futures atrocités.
Comparativement, l’administration Trump a enregistré un nombre d’arrestations d’immigrants illégaux largement supérieur à celui de son prédécesseur, continuant ainsi à procéder à des déportations massives de criminels. Des actions notables incluent l’arrestation d’individus liés à des groupes tels qu’ISIS et MS-13, ainsi que des efforts pour inciter le Mexique et le Canada à adopter des politiques plus strictes concernant l’immigration illégale.
Les mesures prises par le Mexique, telles que le déploiement de 10 000 soldats à la frontière et la saisie de drogues, sont des réponses aux pressions de l’administration Trump. Des quantités significatives de fentanyl et de méthamphétamine ont été saisies, illustrant les efforts conjoints pour lutter contre la crise des opioïdes aux États-Unis. Les initiatives de la Central Intelligence Agency (CIA) visant à localiser des laboratoires de fentanyl au Mexique témoignent également de la gravité de la situation.
Enfin, Tom Homan, tsar des frontières, a rapporté une réduction significative des traversées illégales, avec seulement 229 migrants rencontrés à la frontière sud, un chiffre bien inférieur à la moyenne de 11 000 pendant l’administration précédente. Il a averti que les cartels seraient éliminés « de la surface de la terre » s’ils menaçaient la patrouille frontalière.