Il est le seul entraîneur actuel de la LNH à avoir été un grand joueur, un membre automatique du Temple de la renommée et une superstar incontestée.
Contenu de l’article
Parmi tous les entraîneurs-chefs actuels de la LNH, il y a un manque flagrant de superstars.
Publicité 2
Contenu de l’article
Gerard Gallant a été un buteur prolifique pour les Red Wings de Detroit à la fin des années 1980. Andrew Brunette était un producteur de points solide avec une valise alors qu’il rebondissait d’équipe en équipe. Craig Berube était un dur à cuire qui voyageait beaucoup. Darryl Sutter a connu une saison de 40 buts avec les Blackhawks, mais n’a pas été un marqueur prolifique par la suite.
Il y a de bonnes raisons pour que Rod Brind’Amour soit au Temple de la renommée avec ses 452 buts et 1 184 points — mais jusqu’à présent, il n’y est pas parvenu.
Regardez les pedigrees des entraîneurs et le modèle le plus courant est beaucoup de hockey dans les ligues mineures et une tasse de café occasionnelle dans la LNH. Parmi la cuvée actuelle, il n’y en a qu’un qui a été un grand joueur, un Hall of Famer automatique, une superstar incontestée : Martin St. Louis.
Lorsque les Canadiens ont fait l’inévitable annonce que Saint-Louis avait signé un contrat de trois ans, j’ai commencé à penser : pourquoi si peu de grands joueurs sont devenus entraîneurs et pourquoi encore moins réussissent-ils ? Patrick Roy, Randy Carlyle, Bryan Trottier, Larry Robinson, Adam Oates et Jacques Lemaire se sont tous tournés vers l’entraînement avec des résultats allant d’excellents (Lemaire) à à peine un clin d’œil (Oates).
Saint-Louis est différent. Il n’est pas Wayne Gretzky, Bobby Orr, Mario Lemieux ou même son ancien coéquipier, Vincent Lecavalier. Saint Louis n’a jamais été oint. Il n’était pas un choix de repêchage n ° 1, il n’était même pas un pari sûr pour réussir dans la LNH. Il fabriqué lui-même grand, ce qui signifie qu’il connaît chaque échelon de l’échelle.
Il est intelligent, fougueux, un excellent communicateur. Par-dessus tout, Saint-Louis est prêt à apprendre. Si les Canadiens sont patients avec lui (et je pense qu’ils le seront), Saint-Louis a le potentiel d’être un excellent entraîneur dans cette ligue.
Publicité 3
Contenu de l’article
Il y a encore des sceptiques là-bas. Avec suffisamment de temps, Saint-Louis les fera tous croire. Si son seul succès d’entraîneur était de donner des ailes à Cole Caufield, il en vaudrait quand même chaque centime.
Mais Martin St. Louis va être tellement plus.
La puanteur de Hockey Canada : Le temps pour le président de Hockey Canada, Scott Smith, était La semaine dernière. Si Smith devait faire preuve à la fois de courage et de conscience, le moment était venu de le faire immédiatement après les championnats du monde.
Une histoire horrible s’est déroulée au Canada, une agression sexuelle présumée d’un gang perpétrée par des membres de l’équipe du Mondial junior 2018 et d’autres. Il y a eu un paiement à la victime de Hockey Canada pour régler une poursuite de 3,55 millions de dollars.
Il y avait mille questions à régler et Hockey Canada tentait de faire obstruction. Smith avait beaucoup d’explications à donner. Et il n’en a rien fait du tout.
Mais celui-ci ne s’en va pas. La ministre des Sports du Canada, Pascale St-Onge, a déclaré jeudi qu’elle était «choquée et en colère» à la nouvelle de l’agression et du gain et qu’elle ordonnait une vérification médico-légale de Hockey Canada pour s’assurer que les fonds publics n’étaient pas utilisés à l’extérieur. -règlement judiciaire.
Smith, quant à lui, se cache toujours derrière la déclaration laconique publiée par son équipe de relations publiques le 26 mai. C’est scandaleux. Smith est censé succéder à Tom Renney au poste de PDG de Hockey Canada le 1er juillet. Il devrait plutôt offrir sa démission.
Week-end à Roland Garros : J’ai eu une fois un rédacteur sportif qui ne se souvenait de rien. Il était si oublieux que je complotais pour couvrir l’Open de France sans son approbation. Je m’envolais pour Paris, remplissais une colonne, et quand il me demandait ce que je faisais là, je disais : « Tu ne te souviens pas ? Tu m’as dit d’y aller il y a quelques semaines !
Publicité 4
Contenu de l’article
Je n’ai jamais mis mon plan à exécution. Dommage, car cela aurait été amusant. Quand j’ai commencé à couvrir le tennis (en tant que chroniqueur sportif qui connaissait peu le jeu, à l’époque ou maintenant), c’était au bas de ma liste de sports préférés. Maintenant, c’est tout en haut.
C’est parce qu’ils ne viennent pas mieux qu’Iga Swiatek, Coco Gauff, Leylah Fernandez, Félix Auger-Aliassime, le récemment retraité Ash Barty et (surtout) l’immortel Rafa Nadal.
J’ai couvert ce qui devait être la première apparition de Nadal à Montréal. Il était très jeune et parlait à peine anglais, mais son sourire et ses efforts compensaient les lacunes de sa grammaire. Il a charmé tout le monde en vue, même si aucun d’entre nous n’aurait pu savoir à l’époque à quel point il deviendrait grand.
Il suffit de l’avoir vu alors, et maintenant, l’une des grandes carrières de l’histoire du sport se dérouler sous nos yeux. Et de savoir qu’il a l’intention de persévérer, mauvais pied et tout.
Héros: JF Houle, le Rocket de LavalIga Swiatek, Coco Gauff, Arturi Lehkonen, Gérard Galantmatchs éliminatoires de 14 buts, Connor McDavid, Casper Ruud &&&& last but not least, l’immortel Rafael Nadal.
Zéros : Scott Smith, Tom Renney, Hockey Canada, la revue du hors-jeu, Novak Djokovic, Dustin Johnson, Phil Mickelson, Greg NormanClaude Brochu, David Samson &&&& last but not least, Jeffrey Loria.
Maintenant et pour toujours.
-
Le grand Tony Pajaczkowski de la LCF est décédé à 86 ans
-
Carey Price des Canadiens remporte le trophée Masterton de la LNH