L’ancienne première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a été nommée dame par le prince William, suscitant des critiques pour son hypocrisie en tant que fervente républicaine. Bien qu’elle ait exprimé son honneur et sa joie lors de la cérémonie, ses antécédents en faveur de l’abolition de la monarchie en Nouvelle-Zélande soulignent un contraste frappant. Pendant ce temps, la visite royale de Charles et Camilla en Australie rencontre des désaccords de la part de politiciens républicains.
Pour beaucoup, revêtir une tenue élégante et des talons pour recevoir un titre de dame de la part du futur roi d’Angleterre serait considéré comme un véritable privilège. C’est exactement ce qu’a vécu l’ancienne Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern cette semaine. Elle a souri largement et a même partagé un moment de rire avec le prince William au château de Windsor, où il lui a remis le titre, épinglant la médaille scintillante sur sa ceinture rouge.
Elle a exprimé être « incroyablement honorée et émue » et a décrit sa présence à cette célébration royale en compagnie de sa famille comme un « jour vraiment spécial ». Cependant, au-delà de sa robe bleue et de son nouvel insignia, on ne peut ignorer le fait qu’Ardern a fait preuve d’une étonnante hypocrisie. Bien qu’elle soit récemment honorée, elle est une fervente républicaine qui a clairement manifesté son désir d’abolir la monarchie en Nouvelle-Zélande.
Lorsqu’on lui a proposé le prix l’année dernière, elle a refusé de l’accepter. Ironiquement, elle a pris un vol pour recevoir l’un des plus grands honneurs du Royaume-Uni, affirmant : « C’est chez moi que je me sentirai le plus à l’aise ». Alors qu’elle prenait cette décision, elle assurait qu’elle pensait avant tout à son pays. Ce comportement semble en totale contradiction avec ses convictions républicaines.
Dans cette partie du monde, plusieurs politiciens expriment une hostilité croissante envers la royauté, certains allant jusqu’à réclamer son abolition. Pendant ce temps, le roi Charles et la reine Camilla ressentent la pression lors de leur visite en Australie.
De nombreux dirigeants australiens ont déjà refusé l’invitation de rencontrer le couple royal lors d’une réception à Canberra, prétextant des « engagements » allant des campagnes électorales aux conseils municipaux. Avant l’arrivée du roi à Sydney, le Premier ministre de la Nouvelle-Galles du Sud, Chris Minns, a déclaré : « Je suis républicain, mais je vais traiter le roi comme un invité d’honneur ici. » Il a souhaité que le roi passe un agréable séjour tout en affichant un comportement exemplaire.
Les contradictions d’Ardern
Ce double discours est flagrant, surtout de la part d’Ardern. En tant que Première ministre, elle avait affirmé que son pays deviendrait républicain de son vivant. La voir recevoir un prix de la part de la monarchie qu’elle souhaite renverser est difficile à comprendre. Bien qu’elle puisse avoir une relation amicale avec William grâce à son implication dans le prix Earthshot, cet acte symbolique aurait également pu être évité dans le contexte de ses opinions politiques.
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