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La version suivante de ce poème a été utilisée pour créer ce guide : Jonson, Ben. « Inviter un ami à souper. » Ben Jonson et les poètes cavaliers (W&W Norton, 1974).
Notez que toutes les citations entre parenthèses font référence au numéro de ligne dans lequel la citation apparaît.
Ben Jonson est peut-être mieux connu pour son travail de dramaturge à l’époque élisabéthaine et jacobéenne. On lui attribue souvent le mérite d’avoir perfectionné le genre de la comédie anglaise, écrivant avec un style plein d’esprit caractéristique qui a souvent dramatisé la vie des classes inférieures d’Angleterre à une époque où les pièces avaient tendance à dépeindre la noblesse et la royauté. Jonson est souvent considéré comme le deuxième dramaturge le plus influent sous James I, après son collègue dramaturge, acteur et ami William Shakespeare.
La poésie de Jonson, comme ses pièces de théâtre, exprime un penchant similaire pour les traits d’esprit et les jeux de mots ironiques, mais son drame et sa poésie sont d’une simplicité trompeuse. En fait, une grande partie des éloges pour le travail de Jonson est due à sa capacité à s’attaquer à des problèmes sociaux et politiques majeurs dans le cadre d’une intrigue apparemment simple. « Inviting a Friend to Supper », l’une des épigrammes de Jonson, souscrit à ce modèle même, car il utilise l’occasion d’une invitation à dîner pour commenter les événements à la cour d’Angleterre.
« Inviting a Friend to Supper » ne s’adresse à personne en particulier, mais on pense généralement qu’il s’adresse à William Herbert, ancien de Pembroke. Herbert était le mécène le plus fidèle et le plus constant de Jonson, et en tant que tel, Jonson a écrit un certain nombre de poèmes pour le flatter et le célébrer. William Herbert était le fils de Mary Sidney Herbert et le neveu de Philip Sidney, qui au moment de l’écriture de Jonson était déjà célébré comme un exemple de talent littéraire et de décorum courtois (Philip Sidney mourut en 1586). Une bonne partie du travail de Jonson concerne l’héritage de la famille Sidney-Herbert.
Le poème commence par l’orateur étendant une invitation à sa modeste maison pour le souper. Il dit au destinataire que sans sa présence, le souper ne vaudra rien. Il assure à l’invité que le menu sera agréable et savoureux, promettant des aliments comme les olives, les œufs, le vin et la volaille. Il leur fera lire par un serviteur des livres de l’antiquité, dit-il, et le dessert sera composé de fruits, de fromage et de vin des Canaries. Il assure à son invité qu’il se régalera sans excès et qu’il ne regrettera rien du repas du lendemain matin.
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