Invisible par Paul Auster


Je ne suis pas sûr de pouvoir décrire de manière concise ce que je viens de lire. Mais c’était une bonne écriture et la façon dont le livre était structuré – 4 parties avec 3 personnes séparément responsables de la narration – maintenue par l’attention tout au long. J’ai regardé mes dossiers et le seul livre que j’ai lu de Paul Auster était un de ses mémoires, L’invention de la solitude. Je l’ai lu en 1998, donc je suis sûr que si je le lis à nouveau, ce sera comme si je ne l’avais jamais lu. Je suppose que c’est une bénédiction plutôt qu’une malédiction – ne pas se souvenir des livres lus après un certain temps. Bien que je m’inquiète… J’ai lu Jamaica Inn deux fois en un an, la deuxième fois, je n’étais pas au courant de l’avoir lu avant même si j’avais deviné la fin (non duh Jim, tu viens de le lire il y a cinq mois !!!). Maintenant, comment suis-je parti sur cette tangente ?

Anyhoo, toutes les recommandations sur ce que je lis ensuite par Paul Auster seront les bienvenues. ??

Je ne peux pas dire qui a raconté un faux récit dans ce roman, je serai donc impatient de lire les critiques. (Trente minutes plus tard : après avoir lu quelques critiques, je ne sais toujours pas.)

Le livre commence en 1967 à New York (époque de la guerre du Vietnam). Adam Walker, un étudiant diplômé, se souvient (voir spoiler) Il n’avait pas l’air du genre à mentir.

Cécile Juin, fille d’Hélène, une Française que Rudolph Born était censé épouser (c’est-à-dire Hélène), tenait un journal et raconte un épisode de sa vie lorsqu’elle se rendit sur une île des Caraïbes où Born vivait et (voir spoiler) Elle ne croit pas Born. À ce stade, vers la fin du roman, je ne sais pas qui ou quoi croire.

La troisième personne qui a eu une voix dans cette histoire est Jim Freeman, la personne qui est l’ami d’Adam depuis 1967 et est un auteur à succès et qui a été chargé par Adam de publier les chapitres du livre qui lui a été envoyé par Adam s’il pense qu’il est publiable.

Et le livre se termine brusquement et je ne sais pas quoi en penser non plus. Je n’ai toujours aucune idée de ce qu’était ce roman, bien que la pochette du livre nous dise qu’il est censé être à propos de…
• « La rage de la jeunesse, la faim sexuelle débridée, et une quête incessante de justice. Avec une perspicacité sans compromis, Auster nous emmène dans la frontière ténébreuse entre vérité et mémoire, entre paternité et identité…. »

Commentaires
https://www.theguardian.com/books/200…
https://www.nytimes.com/2009/11/15/bo… (le critique, Clancy Martin, l’appelle le meilleur roman que Paul Auster ait jamais écrit et à l’époque il en avait écrit 15)
https://themillions.com/2010/08/old-t…

Noter:
J’ai lu ce livre en 3 heures environ. C’était une lecture rapide, c’était facile à lire et c’était une lecture agréable. Bien que je ne puisse pas vous parler du roman… ce que tout cela signifiait, même dans une alerte spoiler, parce que je ne sais pas ce que tout cela signifiait, je dois dire que l’évaluation de ce critique ci-dessous est exactement ce que je ressentais et pourquoi je je lui donne 3,5 (arrondi à 4) étoiles :
• Dès que vous avez terminé « Invisible » de Paul Auster, vous voulez le relire. Et non pas parce que, comme parfois avec ses romans – comme avec les romans de Georges Perec, l’un des quelques autres auteurs réels mentionnés dans le livre – vous vous doutez soudain, à la toute fin, que vous n’avez pas bien compris un mot de ce qui s’est passé avant. Vous voulez relire « Invisible » parce qu’il se déplace rapidement, facilement, d’une manière sinueuse, et vous craignez qu’il y ait eu de bonnes parties que vous avez lues juste après, des idées que vous avez manquées. La prose est l’écriture américaine contemporaine à son meilleur : nette, élégante, vive. Il a l’illusion de l’absence d’effort qui ne vient qu’avec une discipline féroce. Comme cela arrive souvent lorsque vous êtes entre les mains d’un maître, vous lisez la phrase suivante presque avant d’avoir fini avec la précédente. Le roman pourrait être lu superficiellement, car c’est un tel plaisir à lire.



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