jeudi, décembre 26, 2024

Howl’s Moving Castle Résumé et description du guide d’étude

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Howl’s Moving Castle est, du moins en surface, une aventure romantique au rythme effréné dans un paysage de conte de fées familier peuplé de sorcières et de sorciers, de personnages métamorphosés, de démons du feu et de châteaux magiques. Tous ces éléments conventionnels sont très divertissants en eux-mêmes, comme on peut s’y attendre ; cependant, ils sont également des éléments essentiels du complot complexe et humoristique pour lequel Jones est célèbre. C’est une mesure du grand talent de Jones qu’ils sont en outre des composants essentiels de son thème, car elle emploie ces accoutrements habituels de la fantaisie de manière à amener les lecteurs à remettre en question leurs propres idées préconçues sur des sujets aussi sérieux que l’identité de soi et l’attente de soi, la pertinence personnelle et sociale de l’âge, et les nombreux visages et significations de l’amour.

L’auteur place tout ce mélange dans un autre contexte encore familier, celui de la lutte entre le bien et le mal, qui s’exprime ici comme une lutte entre les forces qui affirment la vie et l’individu, et celles qui dégradent ou détruisent la vie. Contrairement à de nombreux fantasmes qui dépeignent cette même bataille (par exemple, Le Seigneur des Anneaux de JRR Tolkien [1954-1955] et Les Chroniques de Narnia de CS Lewis [19501956]), il est ici avant tout perceptif, plutôt que physique, car il dépend du jeu complexe de la vérité et de l’illusion, de l’apparence et de la réalité.

Par exemple, bien que le lecteur soit toujours sûr que Sophie Hatter est du bon côté et que la sorcière des déchets est du mauvais côté, il reste fréquemment des doutes quant à quel côté Wizard Howl et ses associés appartiennent.

Jones ne perçoit pas des problèmes aussi importants que la différence entre la réalité et l’illusion ou le bien et le mal comme relevant uniquement du domaine de la fantaisie : la porte magique du château de Howl s’ouvre non seulement sur le paysage féerique d’Ingary, mais aussi sur celui du Pays de Galles moderne. . C’est pourquoi elle place le jeune neveu de Howl, Neil, qui est aussi fasciné par les apparences extérieures que son oncle, fermement dans le paysage gallois contemporain.

Les mondes parallèles encouragent le lecteur à établir des liens entre un monde gouverné par la magie et un gouverné par les médias ; car les deux, semble dire Jones, ont beaucoup en commun, beaucoup qui peuvent nuire à la dignité (à en juger par Neil) et à l’authenticité (à en juger par Howl) de l’individu. Ainsi, le roman n’est pas seulement une romance fantastique, mais aussi un récit édifiant, car il rappelle au lecteur que les images et les apparences peuvent être facilement manipulées, avec des résultats potentiellement désastreux.

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