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Ce roman, sexuellement explicite sans être grossier, est bien l’histoire d’O, une femme dont l’amour pour un homme la conduit à des comportements de plus en plus soumis – se laissant utiliser sexuellement, violemment battue et mutilée physiquement, ce qui libère son indépendance de pensée. , et l’amène finalement à abandonner son identité individuelle. À mesure que la soumission d’O s’approfondit et devient plus extrême, le roman approfondit simultanément ses explorations thématiques de la relation entre l’abandon et la liberté, la nature et les exigences de l’amour, et les aspects spirituels du désir sexuel.
L’histoire d’O commence lorsque O est emmenée par René, appelé à plusieurs reprises « son amant », dans un château isolé de la campagne française, où elle est soumise rituellement et à plusieurs reprises aux désirs sexuels constants, parfois violents, des hommes. là. On lui dit qu’elle est formée à la soumission, qu’elle apprend à s’habiller, à se comporter et à réagir dans une obéissance sexuelle totale comme une manifestation de son amour pour son amant, de sa confiance en lui et de sa foi qu’il l’aime. en retour. Au cours de plusieurs semaines douloureuses, O est entraîné physiquement, mentalement, émotionnellement, sexuellement et spirituellement à s’abandonner. René revient finalement, dit à O qu’elle doit être ramenée chez eux et se prépare à partir avec elle. Au fur et à mesure, O reçoit une bague en fer doublée d’or, qu’elle doit porter constamment comme un signal pour elle, pour son amant et pour toute personne (homme ou femme) qui comprend la vie et les enseignements du château. , qu’elle est sexuellement disponible.
De retour à sa vie parisienne, O se retrouve transformée. Non seulement elle s’habille différemment (de manière beaucoup plus sexuellement disponible), mais ses collègues du magazine de mode où elle travaille comme photographe commentent le changement dans son attitude et sa présence – elle leur semble plus calme et apaisée. . En même temps, cependant, O est plongé dans une tourmente sexuellement chargée à propos de Jacqueline, un beau mannequin qui, aux yeux de O, peut ou non flirter avec elle. Un jour, O est surpris et choqué de découvrir que René a l’intention de la partager avec un homme qui est, à bien des égards, son frère aîné : Sir Stephen, un homme d’affaires et aristocrate britannique. Sir Stephen, O s’en rend vite compte, sera son seul maître – René, par respect pour lui, cède de plus en plus le contrôle sexuel et physique d’O. De son côté, O est d’abord déterminée à rester aussi fidèle émotionnellement que possible. à René. Au fil du temps, cependant, O devient de plus en plus profondément dévoué à Sir Stephen, en venant à penser à la façon brutale dont il la traite comme un signe de sa dignité. Finalement, Sir Stephen emmène O rencontrer Anne-Marie, la femme qui, apprend O, fera en sorte que Sir Stephen la marque du signe ultime de cette valeur : le marquage au fer chaud.
Après avoir accepté la marque de Sir Stephen, O retourne dans sa vie à Paris où Sir Stephen lui dit de faire tout ce qu’il faut pour mettre Jacqueline sous son contrôle ; dont le but, dit-il, est d’amener Jacqueline au château. Dans un premier temps, O refuse, étant tombé amoureux de Jacqueline elle-même. Mais plus tard, quand elle voit la façon impitoyable avec laquelle Jacqueline traite René (qui est tombé amoureux d’elle) et quand elle (O) se rend compte aussi que son dévouement envers Sir Stephen est maintenant si complet qu’elle fera tout pour lui plaire. , O manipule Jacqueline pour qu’elle envisage au moins un voyage au château. O s’implique également avec la demi-sœur de Jacqueline, Natalie, qui semble beaucoup plus désireuse que sa sœur de suivre le chemin d’O. Ce que ce chemin implique est clair pour Natalie lorsque O, suivant les instructions de Sir Stephen, est présenté comme un spectacle nu, silencieux et sexuellement excitant lors d’une fête. L’action du roman se termine ici, mais un épilogue révèle qu’à son retour au château, O fut abandonné par Sir Stephen. L’épilogue suggère également qu’il y a une fin alternative à cette histoire : après avoir appris que Sir Stephen devait la quitter, elle a supplié de la laisser mourir plutôt que de la laisser seule. Sir Stephen, révèle la narration, a donné sa permission.
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