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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer le guide : McCracken, Elizabeth. Le héros de ce livre. Éditeurs HarperCollins, 2022.
Le roman d’Elizabeth McCracken Le héros de ce livre suit les aventures d’un narrateur anonyme à la première personne à travers Londres en une seule journée. Malgré la prémisse narrative d’une simplicité trompeuse, le roman joue avec les notions conventionnelles d’intrigue, de structure et de point de vue. Le résumé suivant adhère à un mode d’explication plus simplifié et s’appuie sur le présent.
Dix mois après la mort de sa mère, la narratrice part seule en voyage à Londres. Lors de sa première nuit, elle est assise dans sa chambre d’hôtel et navigue sur Internet. Elle essaie de s’empêcher de regarder des photos de la maison de ses parents, récemment mise en vente. Elle décide que demain, elle passera toute la journée dehors.
Le lendemain, le narrateur erre sans but dans les rues de Londres. Elle n’est pas habituée à voyager de cette manière non planifiée. La dernière fois qu’elle était à Londres, elle et sa mère étaient ensemble. En marchant, elle essaie de s’empêcher de penser à ses parents et à leur maison. Il était toujours rempli de déchets, d’objets de collection et de chats. Le narrateur espérait autrefois qu’ils vendraient la maison et déménageraient, mais ils ne l’ont jamais fait. Elle est heureuse d’en être bientôt débarrassée.
Le narrateur descend vers la Tamise. Elle étudie les gens à la recherche de trésors échoués dans la boue. Ensuite, le narrateur monte dans un ascenseur en verre appelé Millennium Inclinator. Elle se sent invisible bien que la voiture soit transparente. Quand elle descend, une petite fille demande son nom. La narratrice insiste sur le fait qu’elle n’a pas de nom. Ensuite, elle traverse le Millennium Bridge. Elle se sent irritée par les touristes qui prennent des photos, réalisant qu’elle n’a plus de but.
Le narrateur fait un tour sur le London Eye. Elle partage la voiture avec une famille qui fête l’anniversaire de leur arrière-grand-mère. En regardant la ville, la narratrice regrette de ne jamais avoir emmené sa mère dans l’Œil. Elle ne savait pas que sa mère aurait pu conduire son scooter motorisé sur la grande roue. Elle se demande si son regret et sa culpabilité sont en fait du chagrin.
Le narrateur se rend à la Tate Modern et prend un verre de vin au café du musée. Assise près de la fenêtre, elle se rend compte à quel point sa mère aurait apprécié l’expérience.
Pendant le reste de la journée, de plus en plus de souvenirs de sa mère refont surface dans son esprit. Elle se souvient des petits pieds de sa mère. Elle pense aux cheveux noirs et indisciplinés de sa mère. Elle se souvient de toutes les fois où sa mère est tombée, la considérant comme l’un de ses meilleurs talents. Partout où la narratrice va, elle peut imaginer sa mère à côté d’elle.
A la fin de la journée, le narrateur va voir Songe d’une nuit d’été au Théâtre du Pont. Elle est particulièrement émue par la scène dans laquelle Puck saute de la scène et disparaît.
Lorsque sa mère est tombée malade, la narratrice s’est assise près de son lit, désespérée qu’elle se réveille. Parce que sa mère s’était remise d’autres maladies, chutes et opérations, la narratrice était convaincue qu’elle ouvrirait bientôt les yeux. Lorsque le médecin lui a montré les scanners cérébraux, cependant, le narrateur savait que sa mère ne s’améliorait pas.
La narratrice a écrit ce récit sur sa mère pour l’empêcher de disparaître à jamais. Elle a hésité à l’admettre et espère que sa mère ne le désapprouverait pas.
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