Harry Rakowski: COVID-19 nous a rappelé à quel point les modes de vie sains sont importants

Doit-on encore avoir très peur de mourir du COVID-19 ? La mortalité pendant la phase initiale non vaccinée de la pandémie ainsi que pendant la vague Delta plus dangereuse était très réelle et préoccupante, en particulier pour ceux qui étaient plus âgés ou en mauvaise santé.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS)

tableau de bord

au 24 mai, on dénombrait 6,28 millions de décès dans le monde, un bilan horrible. Les États-Unis ont subi près d’un million de morts, l’Europe un peu plus de 2 millions, le Brésil 666 000 et l’Inde avec la deuxième plus grande population du monde, seulement 524 000 morts.

Les sceptiques soulignent que si les données sont crédibles, environ 99,7 % de la population américaine a survécu à la pandémie, alors pourquoi tout ce tapage autour des mandats de vaccination et de masque ? Cependant, alors que la plupart des gens ont effectivement survécu, en 2021, les décès liés à la pandémie aux États-Unis étaient la troisième cause de mortalité après le cancer et les maladies cardiovasculaires.

Alors que nous essayons de digérer cette importante mortalité totale, le 5 mai, l’OMS

signalé

que les calculs de mortalité précédents étaient une sous-estimation grossière et qu’il est plus probable que 15 millions de décès liés à la pandémie dans le monde se soient produits au cours des deux années entre le 1er janvier 2020 et le 31 décembre 2021.

L’OMS, bien qu’elle soit une organisation importante qui promeut la santé dans le monde, a été vertement critiquée pour sa politisation et sa peur de contrarier la Chine. Quelle est la précision de leur estimation ? Le nouveau calcul de la mortalité est basé sur une analyse statistique complexe de 30 pages de la surmortalité potentielle, comparant les niveaux de référence historiques avant la pandémie aux décès réels au cours des deux dernières années. Cette analyse ajoute des décès supplémentaires supplémentaires principalement aux pays qui n’ont pas de bons systèmes de notification et reste donc spéculative basée sur une extrapolation complexe à partir de pays avec de meilleurs rapports. L’Inde a déjà fait valoir que l’augmentation majeure des taux de mortalité de l’OMS qui lui est attribuée est inexacte. S’agit-il de mauvaises données ou d’une couverture politique ?

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