jeudi, décembre 26, 2024

Guerre dans le Val d’Orcia, 1943-1944 Résumé et description du guide d’étude

[ad_1]

Le récit de ce livre consiste en une série d’entrées de journal écrites au plus fort de la Seconde Guerre mondiale par une femme née aux États-Unis, Iris Origo ou la « Marchesa » mariée dans une famille aristocratique italienne. Au milieu d’événements façonnés par les contextes sociaux, politiques et militaires de l’époque, la marquise écrit sur les défis auxquels sont confrontés sa famille, sa communauté et son pays d’adoption au cours de la lutte pour maintenir un semblant de vie normale au quotidien. -la vie quotidienne face à une guerre et une violence croissantes et débilitantes.

L’éditeur du livre présente les journaux avec un bref résumé des circonstances sociales, politiques et militaires qui ont déclenché l’éruption de la Seconde Guerre mondiale. Ensuite, la marquise préface les journaux avec un bref commentaire, écrit après la fin de la guerre, de la croyance en l’esprit humain qui a caractérisé ses actions et celles des autres dans la communauté du Val d’Orcia pendant les combats.

Les extraits du journal eux-mêmes commencent par des événements survenus en janvier 1943, alors que la guerre en Europe était déjà en cours depuis plusieurs années. La marquise raconte l’arrivée d’un groupe d’enfants réfugiés dans la sécurité relative du Val d’Orcia, un groupe qui augmente en nombre une fois que les mères des premiers réfugiés voient à quel point leurs enfants sont en sécurité et bien soignés. Elle écrit également, avec beaucoup de détails sur les événements sur la scène mondiale de la politique et des machinations du dictateur italien Benito Mussolini, sur la relation de Mussolini avec le dictateur allemand Adolf Hitler et sur les tentatives déterminées des forces alliées pour vaincre leur coalition. Elle décrit également comment, au cours de l’année, ce qui semble être une apathie autodestructrice de la part du citoyen italien ordinaire se transforme en une sombre détermination à veiller à ce que les victimes de la guerre soient prises en charge chaque fois que possible. Ses journaux révèlent comment elle et sa famille deviennent des leaders dans la communauté du Val d’Orcia de ces activités, l’effort continu et intensifié pour préserver l’humanisme face à la brutalité et à l’insensibilité militaires croissantes et de plus en plus désespérées. Les journaux révèlent également, de manière quelque peu surprenante, qu’au milieu de toutes les souffrances et de son travail pour les soulager, la marquise attend un enfant et, en mai 1943, accouche.

Alors que 1943 se poursuit, Mussolini est renversé et les forces alliées gagnent en influence et en force, repoussant les armées allemandes et italiennes. Au fur et à mesure qu’ils se retirent, cependant, la brutalité et le désespoir pour la terre, la sécurité et les approvisionnements augmentent, avec pour résultat que la maison de la marquise, et le Val d’Orcia dans son ensemble, deviennent de plus en plus submergés. Ceci, précisent les journaux, met la vie et le bien-être des agriculteurs de la vallée, ainsi que des réfugiés qu’ils gardent en sécurité, en danger croissant, danger qu’ils continuent d’ignorer au nom de la préservation de la vie et de la dignité humaines. La description et le commentaire de la marquise sur les événements de 1943 se terminent par un commentaire sur l’ironie de célébrer Noël, avec son imagerie associée de paix et d’amour, au milieu de la brutalité et de la destruction.

1944 commence par une tension accrue dans le Val d’Orcia, alors que l’occupation par les armées allemandes en retraite se poursuit et s’intensifie. Finalement, les tentatives alliées de bombarder les Allemands jusqu’à ce qu’ils se rendent complètement conduisent la marquise, sa famille et les enfants réfugiés à évacuer vers Montepulciano, une communauté plus large qui n’a pas encore été envahie par les Allemands en retraite. Après un voyage dangereux et fatigant, le groupe arrive en toute sécurité et est accueilli par les citoyens de la ville, fatigués par la guerre mais compatissants. Les Allemands en retraite passent, mais leur séjour est bref et la guerre d’Italie prend fin en juillet.

Lorsque le groupe retourne dans le Val d’Orcia, la marquise découvre que la construction de la maison est toujours intacte, mais l’intérieur de la maison, les fermes de la vallée et la campagne environnante ont tous été saccagés. Bien que pleinement consciente des défis auxquels la communauté est confrontée dans la reconstruction, la marquise écrit sur la détermination qu’elle partage avec ses métayers à reconstruire la vie dans la vallée telle qu’elle était autrefois.

[ad_2]

Source link -2

- Advertisement -

Latest