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Alors que Google fléchit ses muscles sur le projet de loi controversé sur les nouvelles en ligne d’Ottawa, la réalité est venue un peu soudainement pour ceux d’entre nous qui se retrouvent au milieu de la querelle publique entre les géants de la technologie en ligne et le gouvernement canadien.
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Que ce soit par hasard ou non, je fais partie des quatre pour cent des utilisateurs canadiens de Google qui ne peuvent plus accéder aux nouvelles canadiennes sur le moteur de recherche le plus populaire au monde.
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Mercredi, Google a annoncé le début d’un essai de cinq semaines empêchant environ 4 % des internautes canadiens d’accéder au contenu d’actualités local, qui s’applique à la fois au contenu de son moteur de recherche et aux fonctionnalités d’actualités sur smartphone.
C’est en représailles à l’adoption presque assurée par le gouvernement du projet de loi C-18 – plus communément appelé le projet de loi sur les nouvelles en ligne – qui, s’il était adopté, obligerait les grandes entreprises technologiques telles que Google et Facebook à négocier des accords avec les médias à partager. les revenus provenant de la liaison d’articles d’actualité.
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Le contenu produit et publié par les médias canadiens est tous touchés par l’interdiction de Google.
Mes problèmes avec Google ont commencé il y a un peu plus d’une semaine lorsque j’ai commencé à remarquer que mes recherches d’articles sur le site Web du National Post commençaient à devenir vides.
Une recherche normale et sans tache d’un sujet digne d’intérêt – dans cet exemple « Justin Trudeau » – serait complétée par divers articles récents sur le premier ministre provenant de tous les principaux organes de presse canadiens.
Dans une recherche effectuée lors de la rédaction de cette chronique, les meilleurs résultats de cette recherche se composent de biographies officielles du site Web du gouvernement du Premier ministre et d’une section « Top Stories » remplie de communiqués de presse du gouvernement et d’une poignée d’actualités grand public republiées par MSN et Yahoo. Nouvelles.
La situation devient encore plus sombre lorsque vous utilisez les outils de site de Google pour rechercher des sites Web spécifiques.
La recherche de Justin Trudeau sur le site Web du National Post, par exemple, ne renvoie aucun résultat, tandis que les recherches non bloquées rapportent environ 329 000 résultats.
Des recherches spécifiques à des sites similaires sur des sites Web d’actualités tels que le National Post, CBC News et le Toronto Star ne produisent aucun résultat.
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Au moins dans mon cas, Google semble me bloquer en fonction de mon compte Google.
Mes résultats ne semblent être bloqués que lorsque j’utilise le navigateur Chrome de Google lorsque je suis connecté à mon compte Google.
L’utilisation du mode incognito, la déconnexion de Google ou l’utilisation d’un autre navigateur me permettent de rechercher des sites Web d’actualités canadiens sans hésitation.
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J’ai été l’une des premières personnes à m’inscrire à Gmail lors de son lancement au début des années 2000, et grâce à la commodité des diverses applications et services de Google au fil des ans – ainsi que mon utilisation de longue date de Chrome – je me suis retrouvé assez dépendant de Google dans ma vie de tous les jours.
Même mes mots de passe sont tous protégés par l’économiseur de mots de passe pratique de Google.
Bien que le fait d’être bloqué ait fait de tout, du dépôt d’histoires à la navigation décontractée sur le net, une énorme douleur dans le cul, cela m’a également fait réfléchir à la facilité avec laquelle il a été de dépendre d’une technologie ou d’un service.
La répression stupide de Netflix contre le partage de mots de passe a fait réfléchir notre famille sur la façon dont nous comptions sur le service avant de l’annuler. Il est peut-être temps pour les Canadiens de réfléchir au nombre d’œufs que nous gardons dans un seul panier en ligne.
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