George Clooney révèle la note qu’il a reçue de Joel Coen qui l’a totalement aidé à traverser son premier O Brother, Where Art Thou? Scène

George Clooney révèle la note qu'il a reçue de Joel Coen qui l'a totalement aidé à traverser son premier O Brother, Where Art Thou?  Scène

Parfois, une simple ligne de direction d’un cinéaste à un acteur peut complètement façonner une performance, transformant quelque chose d’abyssal en divertissant. Un coup d’œil dans l’état d’esprit d’un conteur peut officiellement mettre l’acteur et le réalisateur sur la même page, et servir de pièce de puzzle finale qui se met en place, libérant un acteur pour enfin laisser voler son drapeau. C’est arrivé à George Clooney, talent avéré et oscarisé, alors qu’il s’apprêtait à incarner un tiers des frères au coeur de la large comédie de Joel et Ethan Coen. Ô frère, où es-tu? Oui, Clooney a bombardé son audition de signature pour le film, mais il a compris le reste de l’histoire. Alors, qu’est-ce que Joel a dit pour mettre Clooney sur la bonne voie ?

George Clooney s’est assis avec sa co-vedette fréquente Matt Damon pour une fascinante conversation de va-et-vient publiée dans Interview Magazine. Les vieux amis couvrent un large éventail de sujets, et vraiment, toute la discussion vaut votre temps. Mais lorsque le duo a commencé à discuter des notes que les réalisateurs peuvent (et ne doivent pas) donner aux acteurs, Clooney s’est souvenu :

Le tout premier travail que j’ai fait avec les frères Coen était O Brother, Where Art Thou? J’étais nerveux, mec. C’était les frères Coen et ils étaient déjà des dieux. Et j’ai eu ce super rôle, cet idiot nommé Everett. Le premier jour, la première scène a été celle où John Goodman me frappe à la tête avec une branche et me fait sortir du maïs de la bouche. J’ai fait la scène en une seule prise, et j’ai joué Everett comme un idiot parce que c’est un idiot. Joël [Coen] est venu et a dit: ‘N’oubliez pas que vous êtes le gars le plus intelligent de la pièce dans chaque pièce dans laquelle vous entrez.’ C’est un peu la dernière chose qu’il m’a dite de tout le film. Et j’étais comme, ‘Oh putain, bien sûr. Tu as raison.’ C’était libérateur.

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