Bien que beaucoup d’entre nous viennent à peine de comprendre pleinement ce qu’est le métaverse, apparemment la solution aux problèmes de travail hybrides d’aujourd’hui est en fait « l’intraverse ».
Le registre a rapporté de l’événement Symposium de Gartner en Australie, où l’intravers a été décrit comme « un espace interactif qui fusionne un intranet et un métavers ».
Gartner aurait encouragé les participants à ne pas « penser à un métaverse comme une seule chose à construire », mais plutôt à « une collection de technologies telles que la réalité augmentée à utiliser comme environnement de formation ou de collaboration, ou un moyen d’ajouter des avatars IA en tant que client options de services ».
Pourquoi avons nous besoin de ça?
Les analystes de Gartner ont souligné à quel point l’équilibre entre le désir des employés de travailler à distance et leur propre désir d’avoir des employés au bureau de temps en temps pour stimuler la collaboration était contradictoire.
Les conférenciers ont également souligné à quel point les candidats modernes sont susceptibles de laisser passer des emplois où les systèmes informatiques semblent obsolètes.
Mais, si les entreprises sont très visibles sur leur mise en œuvre de l’intraverse, les employés férus de technologie « sauront que vous avez essayé », selon les mots de la présidente de la recherche de Gartner, Tina Nunno.
Il n’y a pas que Gartner qui mise sur la convergence du lieu de travail avec le métaverse.
Meetaverse, d’Allseated, est une plateforme de réunion 3D basée sur un navigateur lancée en 2022.
Meetaverse est conçu pour les navigateurs, pas pour les casques VR, et a offert aux travailleurs hybrides 10 000 objets 3D entièrement rendus qu’ils peuvent déposer dans un environnement 3D.
La montée de l’intraverse n’est pas la seule prédiction que Gartner avait pour les participants. Les intervenants ont également évoqué l’idée d’un « accord de niveau de protection », où l’équipe informatique et le secteur d’activité s’accordent sur un certain niveau de sécurité, en échange d’un certain niveau de ressources.
Les analystes affirment que cette approche pourrait être une alternative intéressante aux dépenses informatiques car elle évite de « dépenser le même montant d’argent pour un outil qui améliore ses capacités mais qui pourrait fournir un résultat dont une entreprise n’a pas besoin ».