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Un recueil de poèmes positifs, énergiques et parfois nostalgiques. Lecture de quarantaine parfaite.
Il est toujours réconfortant de trouver un refuge dans la littérature. Pour que vos sentiments soient validés par elle. Et « freebird » le fait pour vous. « freebird » danse à travers des sujets liés aux relations, au temps qui passe, à l’amour-propre, au jugement de soi, au mythe de l’image, à la confiance, à la trahison, à la libération et finalement à la liberté. Le livre de poésie culmine avec le poème intitulé « freebird ». L’oiseau libre est celui qui voit à travers l’illusion humaine et rejette les illusions de l’ego, des attentes de la société et de l’autocritique. Il fait tout cela pour enfin pouvoir voler.
Le style d’écriture de « freebird » est simple, sincère et rafraîchissant. Les poèmes sont complètement exempts d’ironie, de sarcasme, de cynisme, de références à la culture pop et de toutes les autres affectations qui ont tourmenté l’écriture du 21e siècle. Il n’y a pas de message politique, ouvert ou voilé. « freebird » ne concerne pas les défaillances de la société, mais plutôt la condition humaine.
« freebird » n’a pas peur de sonder les profondeurs du désespoir et de la désillusion, et pourtant il y a un esprit d’optimisme qui sous-tend l’ensemble du travail : malgré ses difficultés et ses déceptions, la vie humaine est belle – et vaut la peine d’être vécue.
Freebird est une lecture agréable et surtout légère pour tout le monde. Les poèmes sont courts et pas trop compliqués, ce qui peut être rafraîchissant en ces temps d’incertitude. En d’autres termes, c’est une bonne lecture de quarantaine.
Freebird est divisé en six parties : la vie, le temps, l’humanité, les relations, l’esprit et l’amour de soi. Certains poèmes ont un message universel, mais la plupart ressemblent à un aperçu de l’esprit et de la vie de l’écrivain. Des poèmes comme celui d’« Existence » illustrent le sentiment universel de fatigue. D’un autre côté, des poèmes comme « Fog » ont cet air de nostalgie d’enfance, une nostalgie des temps plus simples.
Je ne lis généralement pas de livres de poésie, mais j’ai choisi celui-ci pour changer mon régime de lecture et je suis content de l’avoir fait. Les pages elles-mêmes sont d’agréables surprises avec leurs gribouillis et croquis comme visuels pour le sujet de chaque poème. Les griffonnages vont de mignons à amusants à idiots à parfois sérieux, ajoutant à l’aspect divertissant global du livre.
Mes yeux dérivaient parfois vers ces gribouillis pendant la lecture, mais il est préférable de vraiment les examiner après avoir lu chaque poème pour les apprécier pleinement. Cela m’a gardé engagé, c’est sûr. Quant au contenu écrit, cela m’a également permis de rester engagé et d’avoir envie de lire plus, même après avoir atteint la dernière page du livre.
Il y avait tellement de thèmes auxquels je pouvais m’identifier et sur lesquels elle avait écrit. Des poèmes couvrant des thèmes comme l’anxiété, le manque de place, l’impression à la fois qu’il y a trop ou pas assez de temps, et le voyage de la navigation à l’âge adulte. Par exemple, dans « Ambush », le verset « L’esprit rempli de questions et d’inquiétudes sans fin vous empêchant de ressentir un sentiment de sécurité » a particulièrement résonné avec moi. Je n’aurais pas pu mieux formuler cela moi-même.
Bien sûr, la plupart des poèmes sont sur une note plus légère, donc je pense que tout le monde peut trouver quelque chose dans ce livre de poésie avec lequel il peut se connecter, peu importe s’il est jeune ou vieux.
J’aime écrire sur un large éventail de sujets, mais j’aimerais aussi écrire davantage sur des livres qui m’ont marqué. La lecture me tient à cœur, donc cela m’apporterait de la joie de guider les autres vers de bonnes lectures et des trésors cachés.
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