Food for Hurt par Cassius Page – Commenté par Vincent G


Les poèmes retracent son voyage à la recherche d’un meilleur moi inspiré par la femme qu’il aime.

Cassius Page aime les mots, mais plus encore sa fiancée que, dans la longue tradition des poètes, il fait découvrir aux lecteurs à travers son premier recueil, Nourriture pour blessé. Page invoque la voix d’un innocent tout au long de la collection de 21 pièces. Les lecteurs qui endurent les gaffes occasionnelles dans l’orthographe, la diction et la ponctuation auront un aperçu de l’esprit et du cœur de la jeunesse alors que l’auteur se débat avec de nombreuses questions qui hantent ceux qui ne sont pas encore initiés au cercle de la vie. Bref, Les poèmes retracent son voyage à la recherche d’un meilleur soi inspiré par la femme qu’il aime. Le poème « In Time » montre :

Un jour, je pourrais manquer de mots pour te décrire,

pour combien gracieux, combien heureux, incroyable tu es

mais aujourd’hui

Eh bien, aujourd’hui, ce n’est sûrement pas ce jour

et vous êtes envoûtant à tous points de vue.

Cette strophe et bien d’autres lues deux fois avant une critique m’ont presque conduit à rejeter les idées et les compétences de l’auteur comme étant puériles. Dans une troisième lecture, j’ai pu voir une voix perspicace qui a besoin d’un éditeur, mais qui contient un message d’espoir fort important pour les adolescents et les jeunes adultes.

Une étude de la table des matières illustre le cheminement de la page vers une perspective plus mature. Ses paroles en vers libres et sous des formes variées font écho aux angoisses complexes qui habitent l’esprit de nombreux jeunes. Par exemple, « Children’s Heart », une complainte sur la perte à un jeune âge :

Des tonnes de petits morceaux volent, tandis que la mort pousse son cri maléfique.

Temps déchirant (sic) et yeux d’enfants.

Apporter de la tristesse par, et par,

que les parents d’enfants sans défense meurent.

La haine crie et l’amour meurt.

Remplacer tout espoir par des mensonges,

Avilir toutes leurs précieuses vies.

Le passage remue les souvenirs des lecteurs de leurs espoirs et de leurs rêves autrefois. Page cite les larmes dans les « yeux des enfants », qui convertissent lentement les innocents et conduisent certains adultes là où « l’amour meurt » à cause des « tonnes de petits morceaux » ont déchiré leur vie.

L’ouverture, l’optimisme et l’introspection dans Nourriture pour le mal faites de la brève introduction au jeu de mots de Page un plaisir. Cela pourrait s’avérer un bon démarreur de conversation. En même temps, l’honnêteté me fait espérer que l’écrivain engagera un relecteur professionnel pour « améliorer son jeu ». Cela donnera lieu à de futures collections avec moins de distractions éditoriales pour le lecteur.

Je suis un professeur d’écriture créative à la retraite qui enseigne et écrit dans le centre de la Floride. Mes critiques de fiction, de non-fiction et de poésie remontent à plus de 30 ans dans un large éventail de publications. En plus des domaines de genre cités, j’aime l’histoire, la politique, la culture et les mémoires.



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