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La version suivante de ce livre a été utilisée pour créer ce guide d’étude. Saunders, Georges. « Félicitations, au fait. » New York : Random House LLC, 2014.
Félicitations, en passant est une version légèrement augmentée et modifiée d’un discours d’ouverture prononcé par l’auteur George Saunders à l’Université de Syracuse. Le discours a été prononcé le 11 mai 2013 à l’adresse des diplômés du Collège des Arts et des Sciences. Saunders ouvre le discours en déclarant que son objectif est de transmettre la sagesse aux jeunes diplômés, car Saunders estime qu’il a pu tirer la sagesse de ses années d’expérience et des nombreuses erreurs qu’il a commises au cours de sa vie. Saunders déclare que même s’il a subi de nombreux malheurs et épreuves dans sa vie, les seules choses qu’il regrette vraiment sont ses échecs en matière de gentillesse, c’est-à-dire des moments où il n’a pas été aussi activement gentil qu’il aurait pu l’être. À titre d’exemple, il raconte l’histoire d’un camarade de classe timide qu’il avait quand il était en septième année. Il regrette de ne pas avoir été plus gentil et extraverti envers ce camarade de classe, qui était généralement soit taquiné, soit ignoré.
Saunders poursuit en déclarant que certains états d’esprit subconscients sont les principaux obstacles à un engagement plus profond avec la gentillesse. Ces obstacles sont les idées selon lesquelles un individu est plus important que les autres, qu’un individu est séparé des autres et qu’un individu a un type quelconque de véritable permanence. Saunders souligne que la gentillesse est variable, ce qui signifie que les individus sont plus gentils à certains moments de leur vie qu’à d’autres. Ainsi, une personne doit maintenir la foi dans l’idée que l’on peut améliorer son niveau moyen de gentillesse envers les autres. Saunders déclare que l’éducation et l’interaction interpersonnelle sont des moyens utiles d’accroître sa gentillesse et son engagement avec le monde en général. Saunders déclare également qu’à mesure qu’une personne vieillit, elle devient naturellement plus consciente de la nature destructrice des actions et des modes de pensée égoïstes, et elle s’engage donc volontiers dans des actes et des perspectives basés davantage sur la gentillesse et l’amour envers les autres.
Saunders aborde ensuite les idées d’ambition et la poursuite de la réussite personnelle. Il reconnaît que, d’une part, l’ambition est nécessaire, car on ne peut pas s’améliorer si l’on ne croit pas en ses propres idées et capacités. Cependant, Saunders souligne également que l’accomplissement personnel est cyclique et que l’ambition personnelle ne peut jamais être pleinement satisfaite. Ainsi, il faut toujours considérer les idées d’amour et de gentillesse même lorsque l’on poursuit des objectifs personnels, car si une personne priorise principalement l’ambition, une telle priorisation détournera l’attention de l’accent mis sur la gentillesse. Saunders déclare que même si la vie est souvent définie par un processus graduel de devenir plus gentil, il faut être aussi proactif que possible pour accélérer ce processus. Saunders déclare que la gentillesse est l’aspect le plus important de la vie, et donc l’aspect le plus important de son identité est en fait toutes les parties d’une personne axées non sur soi-même mais sur le bien-être des autres.
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