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« Rape Fantasies » de Margaret Atwood a été publié pour la première fois dans la version canadienne de Danseuses et autres histoires en 1977 mais a été omis de l’édition américaine de la collection. Elle est devenue l’une des œuvres les plus connues d’Atwood, notamment après son inclusion dans l’édition 1985 de L’anthologie Norton de la littérature féminine. L’histoire, une narration à la première personne dans laquelle une femme discute de ses inquiétudes concernant le viol, présente de nombreuses qualités souvent associées au travail d’Atwood, notamment un humour mordant, des caractérisations vivantes et une exploration de la lutte de pouvoir entre hommes et femmes. En outre, il met en lumière les craintes de nombreuses femmes face à la criminalité et à la victimisation dans un environnement urbain où la sécurité dépend d’un équilibre délicat entre confiance et suspicion.
Bien que « Rape Fantasies » soit l’une des histoires les plus populaires d’Atwood, peu de critiques de son travail se concentrent spécifiquement sur elle. Plusieurs critiques ont noté qu’Estelle semble être une protagoniste naïve, mais ce point de vue est rejeté par un nombre égal de critiques. Estelle et ses collègues féminines ont des idées très différentes sur ce qu’est la romance et comment l’obtenir sans devenir la proie des forces insidieuses de la société. L’histoire est souvent utilisée comme point de départ pour discuter de l’écart entre les perceptions des hommes et des femmes les uns des autres.
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