Examen des avertissements de déclenchement – IGN

Examen des avertissements de déclenchement - IGN

Trigger Warning peut ressembler au titre du pire spectacle de stand-up de 10 comédiens différents, mais c’est en fait la modeste combustion qui résulte de la collision de trois types de thrillers d’action distincts mais liés dans un seul film Netflix. C’est en partie une histoire de style roman d’aéroport, à la Jack Reacher, sur un dur à cuire entraîné dans l’armée qui affronte une conspiration néfaste et une petite armée de voyous irrécupérables. (C’est celui où le titre a le plus de sens, après le mauvais stand-up.) C’est en partie l’un de ces films d’action de fin de carrière où une star reconnaissable se rebaptise en un botteur de cul terroriste étonnamment vif. Et le plus prometteur, c’est en partie un film noir de ville sur une femme qui retourne dans sa ville natale endormie pour enquêter sur la mort suspecte de son père. Jessica Alba joue les trois rôles ; elle est raisonnablement convaincante, mais aurait probablement pu jouer n’importe lequel d’entre eux encore mieux si le film n’hésitait pas entre les deux autres.

Alba incarne Parker, un officier des forces spéciales vu pour la première fois se faisant passer pour un travailleur humanitaire pour attirer des terroristes. Pour illustrer qu’elle a un code moral, nous la voyons empêcher un collègue de tuer de sang-froid des hommes non armés ; puis, dans une esquive typiquement intermédiaire, Trigger Warning l’amène à s’opposer à cette pratique principalement parce que les hommes sont des « atouts » qui n’ont pas encore été interrogés pour obtenir des informations. (C’est pour que vous sachiez qu’elle ne veut pas dorloter les méchants en leur accordant des droits humains.) Parker se dirige vers sa ville rurale natale lorsqu’elle découvre que son père, propriétaire d’un bar local, est décédé. La police locale, y compris son ex-petit ami et l’actuel shérif de la ville, Jesse (Mark Webber), ne savent pas s’il s’agit d’un accident ou d’un possible suicide. Parker en vient à soupçonner que ce n’était ni l’un ni l’autre. Le sénateur Swann (Anthony Michael Hall), une figure d’autorité interprétée par un acteur de renom, pourrait-il y être pour quelque chose ?