jeudi, décembre 19, 2024

Érotisme : résumé de la mort et de la sensualité et description du guide d’étude

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Ce livre, écrit en 1957, place à la fois l’érotisme (une expérience de stimulation sexuelle) et la mort au cœur de l’expérience humaine fondamentale. Examinant les deux dans le contexte thématique de ce que la société définit comme « tabou », l’auteur explore des thèmes liés à la nécessité et au sens de transgresser ces tabous, ainsi que la tension existentielle entre continuité (union) et discontinuité (séparation).

L’auteur présente son examen de la relation entre l’érotisme et la mort, ainsi que d’autres aspects de l’existence et des relations humaines, en exprimant son intention d’entreprendre cet examen dans une perspective non scientifique. Cette perspective particulière, suggère-t-il, considère les faits et les expériences isolément les uns des autres, plutôt que comme des composants de ce que les théoriciens et praticiens contemporains pourraient appeler une approche « holistique » ou « organique ». En d’autres termes, il s’intéresse à la façon dont les aspects de l’être humain sont liés les uns aux autres, plutôt que de les considérer selon leurs propres mérites et significations.

Après l’introduction, le livre est divisé en deux parties. Le premier, et plus vaste, est intitulé « Tabous et transgressions », et explore la nature, le but et l’évolution de divers tabous (expériences interdites). Dans le cadre de son exploration, il suggère que la plupart des tabous ont émergé des expériences et des perspectives de l’humanité préhistorique alors que la race évoluait vers une conscience plus profonde et plus large de ce que l’existence, y compris la mort, signifie et/ou implique. Il suggère également qu’en même temps que la conscience et la pratique des tabous ont évolué, l’idée de transgression, de briser ces tabous, qui, selon lui, fait partie intégrante de l’expérience humaine de l’existence et de l’évolution au jour le jour, a également évolué.

Une pierre de touche importante pour l’auteur alors qu’il explore ces questions est de savoir comment le christianisme a, au cours des siècles de son existence, joué un rôle déterminant dans la formation et l’évolution de divers tabous. Ceci, suggère-t-il, est le résultat du fait que le christianisme est allé dans la direction opposée à ce qu’il suggère être la fonction essentielle de la religion : atteindre une expérience de continuité avec ce qui se trouve au-delà du monde physique. Le christianisme, soutient-il, est finalement fondé sur diverses manifestations de discontinuité ou de séparation.

La deuxième partie du livre s’intitule « Quelques aspects de l’érotisme ». L’auteur commence cette section par l’examen des célèbres rapports Kinsey. Recherchés et rédigés dans les années 1950, les rapports résument la première recherche complète et scientifiquement fondée sur le comportement et l’activité sexuels humains. L’auteur de « L’érotisme » utilise des éléments des Rapports pour étayer ses arguments en faveur d’une reconnaissance plus large de la sexualité, mais suggère en même temps que la méthodologie des Rapports est à la fois imparfaite et limitée.

La suite de « Some Aspects… » est reprise en considération des travaux d’autres écrivains fondateurs sur des questions liées à l’érotisme et à la sexualité. Le premier d’entre eux est le tristement célèbre marquis de Sade, dont les explorations de la relation entre la souffrance et la sexualité ont conduit à l’invention du terme « sadisme » pour décrire l’expérience d’obtenir du plaisir, sexuel ou autre, en infligeant de la douleur. Le deuxième écrivain analysé par l’auteur est Claude Lévi-Strauss qui, commente l’auteur, a exploré la relation entre l’érotisme et l’inceste. Enfin, il explore à nouveau la relation entre sexualité et spiritualité, établissant des parallèles entre les expériences émotionnellement et/ou physiquement extatiques de ceux qui vivent intensément des vies spirituelles et ceux qui ont une expérience intense de plaisir sexuel.

L’auteur conclut son étude en revenant sur le principe de tabou et de transgression, suggérant que le premier est une fonction du monde du travail et/ou de la survie, tandis que le second est une fonction et/ou une manifestation du monde du jeu.

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