Un important incendie s’est déclaré dans l’usine de transformation de crevettes Fruits de mer de l’Est, dix jours à peine après l’annonce de sa fermeture définitive.
Des images diffusées sur les réseaux sociaux montrent un imposant panache de fumée qui s’en dégage. Plusieurs camions de pompiers et d’autres premiers répondants se trouvent sur place.
Vers 20 h 45, le brasier était toujours actif alors que 35 pompiers de Matane et de la MRC de la Matanie tentaient toujours de circonscrire les flammes qui auraient pris naissance à l’intérieur du bâtiment.
L’électricité avait été coupée sur les lieux environ 45 minutes plus tôt, a indiqué, au bout du fil, le maire de Matane Eddy Métivier, le bruit des sirènes résonnant en arrière-plan.
Un chariot élévateur pourrait être à l’origine du brasier, a-t-il précisé. « On est vraiment attristé de tout cela. C’est un drame de plus qui nous tombe sur la tête en plus de la fermeture [de l’usine]. »
The Sûreté du Québec indicates that it received a call to assist first responders around 6:30 p.m., but none of its agents came to the scene.
A Matane resident contacted by The Press claims to have seen activity at the plant this week. Questioned about this, its president, Jean-Pierre Chamberland, instead responded by email that there had been “no activity and no one in the factory” since the announcement of its closure on March 18.
The Danish company that owns the Eastern Seafood factory, Royal Greenland, then announced that it was closing down what was the oldest shrimp processing factory still in operation.
The fall in the Nordic shrimp fishing quota, the labor shortage and low market prices for seafood are among the reasons given by the company, 100% of whose shares are owned by the Greenlandic government.
The mayor of Matane, Eddy Métivier, spoke of “a total surprise” as the Danish company had recently invested millions to add lobster and crab processing to its activities, in addition to building 71 housing units for its workers. temporary.
The closure caused 55 employees to lose their jobs as well as at least 104 temporary foreign workers.