Tesla’s performance has been mixed, with declining sales in 2024 attributed to increased competition and buyers waiting for model updates. The start of 2025 saw alarming sales drops in France and Germany, possibly linked to Musk’s political choices. Controversy arose over conflicting survey results regarding German consumer interest in Tesla, with suspicions of vote manipulation. T-Online raised concerns about the legitimacy of a surge in positive votes, suggesting potential bot involvement, but no direct evidence linked this to Tesla or Musk.
Les Résultats de Tesla : Une Année Mitigée
Les performances de Tesla ces dernières années laissent à désirer. Des enquêtes négatives ont vu le jour concernant la marque, ce qui semble déplaire à Elon Musk, qui tente d’utiliser ses robots pour améliorer ces données.
En 2024, Tesla a connu une année contrastée avec une baisse de ses ventes, en grande partie due à la concurrence croissante des marques européennes et chinoises. De plus, la prochaine mise à jour du modèle Y a incité certains acheteurs à repousser leur acquisition, attendant la version Juniper.
Des Ventes Alarmantes en 2025
Les deux premiers mois de 2025 ont été particulièrement préoccupants pour Tesla. En France, les ventes ont chuté de 44,4%, tandis qu’en Allemagne, la baisse a atteint 70,6%. Cette situation pourrait être liée aux choix politiques d’Elon Musk, qui a rejoint l’administration Trump, ainsi qu’à l’attente pour le restylage du modèle Y.
Face à ces résultats, les enquêtes reflètent un climat défavorable pour Tesla. Elon Musk semble avoir du mal à accepter cette réalité, au point d’être soupçonné de recourir à des robots pour influencer les résultats de certaines sondages.
Un sondage, deux résultats divergents : nos confrères d’Electrek ont partagé une enquête allemande de T-Online, intitulée “Würden Sie noch einen Tesla kaufen?” (Acheteriez-vous encore un Tesla ?), qui a révélé que seulement 3% des Allemands envisageraient d’acheter un Tesla. En quelques jours, sur 100 000 votants, 94% ont déclaré qu’ils ne souhaitaient pas acheter un véhicule de la marque.
Cependant, quelques jours plus tard, Elon Musk a lui-même relayé un autre résultat de l’enquête, affirmant que “70% des Allemands achèteraient à nouveau un Tesla.” Cela a suscité de nombreuses réactions sur X, amplifiant les tensions entourant la marque.
Sur les forums anti-Tesla et écologistes, des appels ont été lancés pour voter : “Elon Musk a voulu jouer en politique, maintenant il récolte ce qu’il a semé. Votez sur T-Online !” Cela pourrait expliquer la rapidité avec laquelle les 100 000 votes ont été atteints. Certains adversaires soupçonnent l’utilisation de bots, mais aucune preuve ne vient étayer cette hypothèse. Quoi qu’il en soit, les positions politiques d’Elon Musk semblent avoir entraîné un certain ressentiment en Allemagne.
Peu de temps après, 300 000 votes favorables à Tesla ont été comptabilisés, mais il est possible que ces votes ne proviennent pas uniquement des utilisateurs d’Internet.
T-Online a exprimé des doutes quant à ce changement soudain d’opinion. Il est à noter qu’aucune annonce majeure de Tesla n’a eu lieu cette semaine-là, et qu’Elon Musk n’a pas quitté l’administration Trump entre-temps. T-Online a donc examiné le profil des votants, concluant que les résultats du sondage pourraient avoir été manipulés par des robots. En effet, 253 000 votes ont été enregistrés à partir de seulement deux adresses IP, toutes deux hébergées aux États-Unis. T-Mobile a ainsi déclaré que “cela suggère que le sondage pourrait avoir été manipulé.”
Cela ressemble fortement à une campagne de bots visant à altérer les résultats du sondage. Toutefois, il est important de noter qu’il n’y a aucune confirmation que cela soit une opération orchestrée par Tesla ou Elon Musk.
Ce type de manipulation n’est pas rare : les sondages ouverts, comme celui de T-Online, sont souvent utilisés pour exprimer de la colère ou du soutien de manière organisée. Cependant, ce sondage, n’étant pas mené par un institut professionnel, ne peut en aucun cas être considéré comme un baromètre fiable de l’opinion publique. Il présente plusieurs lacunes, notamment l’absence d’un échantillon représentatif, de questions neutres et de contrôles pour éviter les biais ou les votes multiples.