Émeute (Poème)


La version suivante de ce poème a été utilisée pour créer ce guide : Brooks, Gwendolyn. « Émeute. » Fondation Poésie. https://www.poetryfoundation.org/poems/51835/riot.

Notez que toutes les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux vers du poème dont les citations sont tirées.

« Riot » est un poème en trois parties de la poète Gwendolyn Brooks, née à Chicago. Poème majeur du mouvement des arts noirs, la première partie commence par une épigraphe de Martin Luther King Jr. qui dit : « une émeute est le langage de ceux qui ne sont pas entendus ». Le poème proprement dit commence par l’histoire d’un « Jean Cabot » fictif avec « une rose blanche et bleue sous ses cheveux dorés » (1). L’orateur énumère ensuite les biens coûteux que Cabot a failli laisser derrière lui parce qu’une émeute approche de chez lui : sa « Jaguar » (4), « Grandtully » (5), la « sculpture de Richard Gray et Distelheim » (7-8). .

L’orateur décrit ensuite comment « les nègres » (10) et les « pauvres » (11) « descendaient dans la rue » (10). Jean Cabot est dégoûté par le groupe qui l’approche. Il crie : « Ne laisse pas ça me toucher ! La noirceur ! Seigneur !’ » (18). Malgré ses supplications, Cabot est submergé par des odeurs de « patte de cochon, andouillette et piment bon marché » (23). Cabot est plongé dans « le feu » (28), « le verre brisé et le sang » (29), implorant que Dieu pardonne aux émeutiers.



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