Elle marche en beauté


Écrit en 1814, alors que Byron avait vingt-six ans, et publié dans Mélodies hébraïques en 1815, le poème de louange « Elle marche en beauté » s’inspire de la première vision du poète de sa jeune cousine par alliance, Anne Wilmot. Selon les historiens de la littérature, le cousin de Byron portait une robe noire ornée de paillettes. Cette description aide le lecteur à comprendre l’origine du poème et son mélange d’images d’obscurité et de lumière, mais le poème lui-même ne peut être réduit à ses origines ; sa beauté réside dans sa description puissante non seulement de la beauté physique d’une femme, mais aussi de ses forces intérieures. Il n’y a aucune mention dans le poème de paillettes ou d’une robe, aucune image d’une femme marchant réellement, car le poète recherche quelque chose de plus grand qu’une simple description physique.



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