Ellana (Le Pacte des Marches Ombres, #1) de Pierre Bottero


4.5
Commentaire en français au-dessous de sa traduction en anglais :

Ce livre commence par une fille sans nom, qui pose des questions et veut connaître deux réponses pour chaque question : la réponse du poète et celle du savant.

Cette fille perd ses parents, mais se retrouve avec deux frères qui l’élèveront au milieu d’une forêt où elle grandira avec son nouveau nom, Ipiu, son cœur léger et la liberté de courir, de voler, de sentir le monde qui l’entoure jusque dans ses os.

Elle voudra d

4.5
Commentaire en français au-dessous de sa traduction en anglais :

Ce livre commence par une fille sans nom, qui pose des questions et veut connaître deux réponses pour chaque question : la réponse du poète et celle du savant.

Cette fille perd ses parents, mais se retrouve avec deux frères qui l’élèveront au milieu d’une forêt où elle grandira avec son nouveau nom, Ipiu, son cœur léger et la liberté de courir, de voler, de sentir le monde qui l’entoure jusque dans ses os.

Elle voudra découvrir le monde en dehors de sa forêt et se retrouvera dans l’une des villes les plus dangereuses de Gwendalavir. Là-bas, elle se fera de nouveaux amis… et ennemis. Elle découvrira les joies de vivre parmi les autres humains, et recevra en cadeau un nom humain d’un de ses nouveaux amis :

Ellana

Mais il y a des profondeurs dans cette nouvelle vie qui ne sont pas aussi insouciantes que sa vie précédente, et elle va (re)découvrir que le bonheur va de pair avec la souffrance. Qu’est-ce qui rendra Ellana plus forte ? Qu’est-ce qui la blessera plus profondément ? Une blessure la rendra-t-elle plus faible… ou plus forte qu’elle ne l’aurait jamais cru possible ?

En lisant ce livre, vous vous retrouverez plongé dans cet univers magique mais ordinaire, spacieux mais profond, plein d’action mais aussi de moments tranquilles de réflexion. Vous découvrirez le chemin… des Shadowalkers.

A chaque fois que j’ouvrais ce livre, je replongais dans l’histoire d’Ellana, une fille qui a beaucoup perdu, qui a beaucoup travaillé, et qui gagnera tant grâce à sa force, son envie de vivre, d’apprendre, de découvrir, et surtout de ne dépendre de personne.

Pour devenir ce qu’elle est devenue, elle a dû travailler dur et vivre des expériences aussi variées dans la forme que dans la nature.

Et Ellana nous laisse l’accompagner dans son voyage, qui nous fera découvrir le monde de son cœur et de son esprit, son monde de Gwendalavir et le nouveau monde des Shadowalkers.

Parce qu’elle a dû travailler dur et traverser tellement de situations plus difficiles, j’étais beaucoup plus investie dans son histoire que dans celle d’Ewilan. Les personnages qui l’entourent sont tous intéressants et uniques, avec des envies et des personnalités très diverses. On découvre le monde de Gwendalavir à travers ces personnages autant qu’à travers les yeux grands ouverts d’Ellana, avec son esprit souple et curieux, des forêts où elle vole, aux villes où elle court, aux montagnes où elle grimpe.

Deux de mes citations préférées :
N’oubliez jamais, celui qui croit tout savoir n’apprend plus rien. – page 197

La mort est un cadeau que nous offrent ceux qui nous quittent. Un cadeau qui est stimulant, écrasant, mais un cadeau. L’opportunité de grandir, de comprendre, de s’ouvrir, d’apprendre. A attendre aussi. Pour sa propre mort. Sans plus le craindre. – page 399

Commentaire en anglais

Ce livre commence avec une fille sans nom, qui pose des questions et veut savoir deux réponses à chacune : la réponse du poète et celle du savant.

Cette fille perdait ses propres parents, mais se produira avec deux frères qui vont l’élever au milieu d’une forêt où elle grandira avec son nouveau prénom Ipiu, l’esprit léger et la liberté de courir, de voler, de sentir du fond de son corps le monde qui l’entoure.

Elle va vouloir découvrir le monde au-delà de sa forêt, et se trouver dans une des villes le plus dangereuse de Gwendalavir. Là, elle fera des nouveaux amis… et des ennemis. Elle va découvrir la joie de vivre parmi d’autres humains, et recevoir un nom humain d’un de ses nouveaux amis comme cadeau :

Ellana

Mais il y a des profondeurs à cette nouvelle vie qui ne sont pas si insouciant que son ancienne vie, et elle va (re)découvrir que le bonheur se promène main dans la main avec la souffrance. Lequel va rendre Ellana plus forte? Lequel va la bénir le plus profondément ? Est-ce qu’une blessure la rendra plus faible… ou plus forte que jamais elle n’y aurait pensé?

En lisant cet ouvrage, vous allez vous trouver mais entouré par cet univers magique ordinaire, spacieux mais profond, plein d’action mais aussi des moments de réflexion. Vous allez découvrir le chemin des… marchombres.

Chaque fois que j’ouvrais ce livre, je me suis replongé dans l’histoire d’Ellana, une fille qui a perdu beaucoup, qui s’est déclaré beaucoup, et qui va gagner beaucoup grâce à sa force, son désir de vivre, de comprendre, de découvrir, et surtout : de ne pas dépendre de personne.

Pour devenir celle qu’elle est devenue, elle a dû travailler pendant et éprouver des expériences variées autant dans la forme que dans l’esprit.

Et Ellana nous laisse la rejoindre sur son chemin, qui va nous exposer au monde de son esprit, de son monde Gwendalavir, et le nouveau monde des marchombres.

Car elle a dû travailler pendant et éprouver des expériences plus difficiles, j’ai beaucoup accroché à son histoire beaucoup plus que celle d’Ewilan. Les personnages qui l’entourent sont chacun et chacun intéressant et unique, avec des désirs et des personnalités très variés. On découvre l’univers de Gwendalavir par ces personnages autant que par les yeux grands ouverts d’Ellana, son esprit souple et curieux, des forêts où elle volait, aux villes où elle courait, aux montagnes où elle escaladait.

Deux de mes citations préférées :
N’oublie jamais, celui qui croit savoir n’apprend plus. – page 197

La mort est un cadeau que nous offrons à ceux qui partent. Un cadeau exigeant, écrasant, mais un cadeau. La possibilité de grandir, de comprendre, de s’ouvrir, d’apprendre. D’attendre aussi. Sa propre mort. Sans plus la redouter. – page 399



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