Quand Elden Ring a été projeté pour la première fois dans le monde en 2019, je dois admettre que j’étais assez perplexe à ce sujet. Je l’ai déjà dit, je n’ai jamais vraiment été un Soulsite, et ce n’est pas faute d’avoir essayé. J’ai fait de mon mieux pour entrer dans Dark Souls III quand il est sorti pour la première fois, mais sacrés râles, c’était un travail si long et épuisant. Vordt de la vallée boréale, le deuxième (oui, le deuxième) boss de Dark Souls III, reste mon ennemi de toujours. Je ne pouvais tout simplement pas m’en passer. Je suis quelqu’un qui aime toujours faire des progrès tangibles quand je joue à des jeux, et me cogner la tête contre le même patron pendant des heures est mon idée du véritable enfer.
Je ne suis pas meilleur pour jouer à Elden Ring, pour être honnête. Hier soir, j’ai passé quelques bonnes heures à essayer de dépasser l’un de ces grands singes à la barbe tentaculaire et aux estomacs creusés sur le chemin du château de Stormveil. Pas même un vrai sous-boss nommé ! Et pourtant, j’apprécie beaucoup plus cette version de Head-bashing à la Souls que je ne l’ai jamais fait auparavant. Et moi pense cela a à voir avec l’abondance de points de sauvegarde d’Elden Ring.