Elantris (Elantris, #1) de Brandon Sanderson


Elantris était la capitale d’Arelon : gigantesque, belle, littéralement rayonnante, remplie d’êtres bienveillants qui utilisaient leurs puissantes capacités magiques pour le bien de tous. Pourtant, chacun de ces demi-dieux était autrefois une personne ordinaire jusqu’à ce qu’il soit touché par le mystérieux pouvoir de transformation du Shaod. Il y a dix ans, sans prévenir, la magie a échoué. Les Elantrians sont devenus des créatures ratatinées, ressemblant à des lépreux et impuissantes, et Elantris lui-même est sombre, sale et en ruine.

La nouvelle capitale d’Arelon, Kae, est tapie à l’ombre d’Elantris. La princesse Sarene de Teod arrive pour un mariage d’État avec le prince héritier Raoden, espérant, sur la base de leur correspondance, trouver également l’amour. Elle découvre à la place que Raoden est mort et qu’elle est considérée comme sa veuve. Teod et Arelon sont tous deux menacés en tant que derniers résistants aux ambitions impériales des fanatiques religieux impitoyables de Fjordell. Alors Sarene décide d’utiliser son nouveau statut pour contrer les machinations de Hrathen, un grand prêtre de Fjordell qui est venu à Kae pour convertir Arelon et le réclamer pour son empereur et son dieu.

Mais ni Sarene ni Hrathen ne soupçonnent la vérité sur le prince Raoden. Frappé par la même malédiction qui a ruiné Elantris, Raoden a été secrètement exilé par son père dans la ville sombre. Sa lutte pour aider les misérables piégés là-bas commence une série d’événements qui apporteront de l’espoir à Arelon et révéleront peut-être le secret d’Elantris lui-même.

Fantasme épique rare qui ne recycle pas les classiques et qui est une histoire complète et satisfaisante en un seul volume, Elantris est léger et amusant, plein de surprises et de personnages dont il faut se soucier. C’est aussi le merveilleux début d’une nouvelle étoile bienvenue dans la constellation de la fantaisie.



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