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Après avoir profité de l’enfer de « The Chemistry of Death », j’étais très impatient de commencer à lire le deuxième livre sur le Dr Hunter. Et… oh mon garçon. Je ne sais pas vraiment par où commencer.
Le livre commence de manière assez intéressante : meurtre horrible, lieu intéressant, bon vieux Dr Hunter… Certains des personnages du livre étaient si caricaturaux que j’avais peur de me blesser les yeux en roulant des yeux. Voici votre mère célibataire symbolique avec un passé sombre, il y a votre policier incompétent et ivre qui est complètement inconscient des faits les plus évidents, il y a votre jeune journaliste courageux qui « veut juste aller au fond des choses ». La seule raison pour laquelle nous savons que le détective à la retraite Brody est « méticuleux », c’est parce qu’on nous le dit une dizaine de fois, sans jamais vraiment en être témoin à travers ses actions. Le Dr Hunter est tout aussi exaspérant avec son sixième sens qui lui dit plusieurs fois « quelque chose ne va pas tout à fait », mais nous ne savons jamais vraiment pourquoi jusqu’à ce qu’il soit trop tard. Allez, M. Beckett, laissez vos lecteurs se joindre à la fête, laissez-les réfléchir un peu ! Et puis l’intrigue… oh l’intrigue. Formule (bien que divertissante) au début, mais ensuite, dans les 50 pages, c’est rebondissement après rebondissement après rebondissement au point où cela me donnait un gros mal de tête. Ce qui est encore pire, au moment où je suis arrivé à la fin du livre, j’ai réalisé que je ne me soucie même plus de ce qui arrive au Dr Hunter ou, d’ailleurs, de qui est le tueur.
J’ai donné 3 étoiles au livre parce que c’est toujours une sorte de lecture divertissante. La raison pour laquelle je suis si sévère est que mes attentes étaient élevées après le premier livre de David Hunter de Beckett. Malheureusement, « Written in Bone » n’était pas aussi divertissant que je le voulais.
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