Dulce Et Decorum Est (Owen) Résumé et description du guide d’étude


La version de ce poème utilisée pour créer ce guide d’étude apparaît dans : Owen, Wilfred. « Dulce et Decorum Est. » https://www.poetryfoundation.org/poems/46560/dulce-et-decorum-est.

Notez que les citations entre parenthèses dans le guide font référence aux lignes du poème dont les citations sont tirées.

« Dulce et Decorum Est » est un poème de guerre en pentamètre iambique modifié de 28 lignes écrit par le poète-soldat anglais Wilfred Owen. Basé sur une attaque au gaz toxique subie par Owen et son bataillon alors qu’ils combattaient en France au début de 1917, le poème a été composé pour la première fois à la fin de 1917 alors que le poète se remettait d’un choc d’obus avant de retourner au front. Owen était l’un des nombreux poètes qui ont participé à la soi-disant «Grande Guerre» et y ont réagi en vers. En tant que première guerre véritablement moderne, la Première Guerre mondiale a vu le début de multiples technologies de destruction, notamment les mitrailleuses, les sous-marins et, plus pertinent pour «Dulce et Decorum Est», l’utilisation de gaz toxiques. En conséquence, la poésie qu’il a inspirée a adopté une nouvelle approche de ce qui avait été considéré comme les gloires de la guerre et de la mort pour son pays. Compte tenu de l’utilisation continue de ces technologies dans les manœuvres militaires modernes, « Dulce et Decorum Est » reste un avertissement poignant et puissant sur les effets déshumanisants de la guerre.

Le poème s’ouvre sur une scène de soldats épuisés qui s’éloignent du champ de bataille pour se reposer la nuit, presque délirants de fatigue. Une attaque au gaz les ramène à la réalité, d’autant plus que l’un des leurs ne parvient pas à mettre son masque à temps et subit les horribles effets du gaz. L’orateur révèle qu’il voit ce camarade mourir à nouveau dans ses rêves chaque nuit. Il s’adresse ensuite à ceux qui idéaliseraient la guerre et ses participants, déclarant que s’ils pouvaient eux aussi vivre son cauchemar, ils ne glorifieraient plus la guerre.



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