Drame sur l’avortement rempli de suspense « Power Alley » embarqué par M-Appeal avant la première de la semaine de la critique à Cannes (EXCLUSIF) Les plus populaires doivent être lus

Drame sur l'avortement rempli de suspense "Power Alley" embarqué par M-Appeal avant la première de la semaine de la critique à Cannes (EXCLUSIF) Les plus populaires doivent être lus

L’agent commercial berlinois M-Appeal s’est joint à nous pour vendre « Power Alley », le premier film de la cinéaste brésilienne Lillah Halla, qui sera présenté en première mondiale à la Semaine de la critique cannoise, a-t-on annoncé mardi.

Se déroulant au Brésil, où l’avortement est illégal, « Power Alley » est un drame plein de suspense abordant l’un des problèmes les plus controversés de la société.

L’histoire suit la joueuse de volley-ball vedette Sofia qui est confrontée à un scénario impossible à la veille de son match de championnat. Enceinte et paniquée, Sofia cherche un avortement illégal mais devient involontairement une cible à la place. Alors que la mentalité de troupeau de la ville devient violente, Sofia risque d’être consumée par la ferveur – mais ni Sofia ni ceux qui l’aiment ne sont prêts à se rendre.

« Le conflit de [the film] affecte profondément notre protagoniste personnellement, mais cela n’en fait pas seulement un drame individuel », a déclaré Halla. « Après tout, il ne s’agit pas seulement de désirer. Il s’agit du (non-) anéantissement de ses désirs. Mais la chance de Sofia, c’est qu’au-delà d’être déterminée, elle n’est plus seule.

Maren Kroymann, directrice générale de M-Appeal, a déclaré : « D’une manière très émouvante [the film] exprime les tensions que les femmes doivent combattre partout dans le monde, pour avoir le contrôle de leur propre corps et de leur vie. C’est exactement le genre de cinéma que nous pensons vital, émotionnellement puissant et socialement pertinent. L’histoire trouvera un écho auprès du public d’art et d’essai.

Les productrices sont Clarissa Guarilha et Rafaella Costa.

Le film est produit par Arissas (Brésil), Manjericão Filmes (Brésil), In Vivo Films (France) et Cimarrón Cine (Uruguay).

Source-111