mercredi, janvier 22, 2025

Dragon Age : Découvrez la beauté du Veilguard sous tous ses aspects.

Une exploration magique de Dragon Age: The Veilguard, où le joueur incarne Rook, un nouveau héros cherchant à arrêter Solas, un dieu elfe, avant qu’il ne détruise le Voile. Le jeu se distingue par ses graphismes époustouflants, un combat dynamique et un arbre de compétences riche. Bien que l’intrigue ne soit pas révolutionnaire, l’expérience de jeu est captivante, avec des personnages attachants et des environnements stylisés, offrant une immersion profonde dans l’univers de Thedas.

Une Exploration Éblouissante de Dragon Age: The Veilguard

Je suis captivé par Dragon Age: The Veilguard. Que je découvre la base d’opérations du jeu dans le Fade, un lieu d’une beauté onirique, ou que je me promène dans une forêt étincelante de feuilles dorées et d’énergie magique, ce jeu est tout simplement époustouflant. Si votre matériel graphique le permet, vous aurez également droit à certains des effets de ray tracing les plus impressionnants que j’ai eu l’occasion de voir. Chaque détail du jeu, y compris son style de combat orienté vers l’action, est un pur délice pour les yeux.

Une Nouvelle Aventure Périlleuse

Veilguard poursuit l’intrigue captivante de Dragon Age Inquisition, célèbre pour sa révélation choquante dans son DLC. Il s’avère que Solas, l’un de vos compagnons les plus austères, est en réalité un dieu elfe avec l’intention de détruire le Voile, une barrière qu’il a lui-même créée pour séparer notre monde du Fade peuplé d’esprits. Cette barrière a également servi de prison à d’autres dieux elfes malveillants. Solas se perçoit comme un héros, mais son attitude rappelle étrangement celle de Marvel’s Thanos.

Dans ce chapitre, vous incarnez Rook, un nouveau membre recruté par le fidèle Varric pour retrouver Solas avant qu’il n’exécute son plan apocalyptique. Dès votre première mission, votre équipe réussit à le localiser et interrompt son rituel magique, provoquant la libération de deux dieux elfes furieux qui se déchaînent sur Thedas.

BioWare n’hésite pas à mettre en avant son nouveau style visuel pour Dragon Age. Les personnages sont plus stylisés que dans Inquisition, mais cette légère perte de réalisme ne m’a pas dérangé. Au contraire, cela donne à cette nouvelle version une identité propre, distincte des précédents opus. Chaque environnement est imprégné d’un sens du style, comme le Lighthouse, votre base d’opérations, qui se compose de bâtiments médiévaux flottants au cœur d’une tempête magique et onirique. J’ai souvent été émerveillé par l’horizon du Fade, imaginant les histoires qui s’y cachent.

Bien que le jeu ait connu plusieurs tentatives de redémarrage et une perte notable de son directeur créatif original, Dragon Age: The Veilguard reste étonnamment bien réalisé. Après vingt heures de jeu, c’est l’attention portée à l’artisanat et à la qualité qui ressort le plus.

Bien que l’intrigue ne soit pas révolutionnaire, il est difficile de lâcher Dragon Age: The Veilguard car il est tout simplement amusant à jouer. Le nouveau système de combat, plus dynamique que dans le passé, rappelle la transition entre Mass Effect 1 et 2, avec des mouvements spéciaux et des contres dignes du récent God of War. Bien que vous ne puissiez pas contrôler directement vos compagnons, vous pouvez leur ordonner d’utiliser des capacités spéciales qui vous soutiendront ou qui attaqueront vos ennemis. Ce système équilibré rend les combats très divertissants, en particulier lors des affrontements épiques contre des boss qui peuvent durer près de 10 minutes.

Au fur et à mesure que vous progressez, vous aurez la liberté de personnaliser votre personnage grâce à l’immense arbre de compétences de Veilguard. J’ai développé mon Rook pour devenir un Rogue maniant des doubles épées avec une agilité incroyable, prêt à sortir son arc pour un tir mortel. Les joueurs peuvent également choisir entre les classes Guerrier et Mage dès le départ. Chaque arbre de compétences offre trois spécialisations, permettant aux Rogues de devenir Veil Rangers, Saboteurs ou Duelistes. Personnellement, je suis un grand fan de l’action rapide du Dueliste.

Les combats peuvent devenir intenses, mais Dragon Age: The Veilguard gère cela avec brio. Sur un PC équipé d’un AMD Ryzen 9 7950X et d’un GPU NVIDIA RTX 4080 Super, le jeu maintient facilement plus de 100 fps en 4K avec DLSS, des graphismes ‘Ultra’ et des paramètres de ray tracing. Si votre matériel le permet, il pourrait devenir une véritable vitrine des capacités du ray tracing, avec une lumière et des ombres qui apparaissent de manière réaliste dans le jeu.

Surprise, Veilguard reste également jouable sur ma Steam Deck, bien que avec des paramètres graphiques réduits et un framerate de 30 à 40 fps. Ce n’est pas l’expérience idéale, mais cela me permet de gérer des quêtes secondaires confortablement. Je parierais que le jeu s’adapterait bien à des configurations de GPU d’entrée et de milieu de gamme, ainsi qu’aux consoles. Et pour ceux qui préfèrent jouer sur leur canapé, le jeu prend également en charge la PlayStation 5 Pro.

Au-delà de ses graphismes impressionnants, Veilguard parvient à captiver grâce à l’attention que BioWare porte à ses personnages. J’ai adoré explorer Docktown avec Neve, qui s’est rapprochée de mon personnage, un Dragon de l’Ombre, en partageant son affection pour son quartier abîmé. J’ai aidé Davrin à accepter son nouveau rôle dans la protection de l’un des derniers …

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