Doom Shinobi transforme Doom en un jeu d’action acrobatique où vous êtes un ninja

Doom Shinobi transforme Doom en un jeu d'action acrobatique où vous êtes un ninja

Vous pourriez faire valoir que presque tous les jeux d’aujourd’hui sont créés avec les outils que Carmack et Romero ont forgés en 1994. Nous vivons dans un monde post-Doom, et même un jeu extrêmement différent comme le Sekiro : Shadows Die Twice doit beaucoup de ses hypothèses de base sur la conception des niveaux et Espace 3D à Doom.

Vous pouvez aussi, bien sûr, créer littéralement un jeu de ninja dans Doom (ou le GZDoom open-source, pour être plus précis), ce qui est exactement ce que le modder Edy Pagaza a décidé de faire avec Doom Shinobi, transformant le FPS classique en un jeu d’action à la troisième personne avec des katanas, des étoiles à lancer et des courses sur les murs.

C’est une conversion extrêmement impressionnante et ressemble à un moment de plaisir. La version actuelle vous permet de jouer tout au long de la campagne initiale de Doom avec l’arsenal Shinobi, mais l’objectif final de Pagaza est un pack de cartes personnalisé complet construit autour du nouveau gameplay. Vous pouvez suivre Doom Shinobi sur ModDB ou le créateur Twitter ou Patreon.

(Crédit image : Edy Pagaza)

En plus de l’audace et de la créativité de Pagaza, je pense que le projet parle vraiment du talent des concepteurs de niveaux originaux de Doom – que leurs cartes FPS peuvent être transformées en niveaux de jeu d’action 3D avec des options de mouvement entièrement nouvelles sans manquer un battement.

Les moddeurs ont fait des choses incroyables avec Doom au fil des ans. J’ai suivi la conversion de Doom en jeu de tir cyberpunk inspiré par FEAR, Sélaco, depuis un certain temps, et le catalogue de Doomworld des meilleurs WAD de tous les temps est une excellente ressource pour le joueur intrépide qui cherche à plonger dans le monde de Doom créé par des fans. Doom Eternal va bien, mais il ne faut jamais oublier le simple fait que Doom est éternel.

(Crédit image : Edy Pagaza)

(Crédit image : Edy Pagaza)

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