Wayne Gretzky est au centre d’un débat sur la souveraineté canadienne, suite à des commentaires de Donald Trump sur la possibilité que le Canada devienne le 51e État des États-Unis. Trump, louant Gretzky comme un proche ami, évoque les avantages d’une telle intégration, notamment des réductions d’impôts. Ses propos ont suscité des réactions variées, allant de moqueries à des critiques, notamment de la part de politiciens canadiens, qui mettent en garde contre les menaces à l’indépendance du Canada.
Wayne Gretzky au cœur du débat sur la souveraineté canadienne
Le président Donald Trump a récemment pris la parole sur les réseaux sociaux pour affirmer que la légende du hockey Wayne Gretzky pourrait jouer un rôle crucial dans la question de la souveraineté du Canada. La possibilité que le Canada devienne le 51e État des États-Unis suscite des réactions variées à travers le pays, surtout en raison de l’admiration que suscite Gretzky, tant au Canada qu’aux États-Unis.
Trump et ses opinions sur la relation Canada-États-Unis
Dans un message publié le 26 février, Trump a décrit Gretzky comme un ‘ami proche’ et a exprimé son respect pour son opinion sur la question délicate de l’indépendance canadienne. Il a déclaré : ‘Wayne Gretzky est un gars fantastique ! On l’appelle ‘Le Grand’, et il l’est. Tout poste politique au Canada, il pourrait gagner sans problème. Wayne est mon ami, et il soutient le Canada, mais il sait aussi combien il serait avantageux pour la nation de devenir un 51e État avec de meilleures conditions fiscales et une économie florissante.’
Trump a continué en soulignant l’amour de Gretzky pour le Canada tout en suggérant que le pays pourrait bénéficier d’une union plus étroite avec les États-Unis. Il a mentionné que Gretzky, accompagné de sa femme Janet, apprécie la culture canadienne tout en faisant allusion à des avantages significatifs liés à une potentielle intégration.
- La femme de Wayne Gretzky attise les rumeurs sur une possible candidature de son mari pour remplacer Justin Trudeau en tant que Premier ministre.
- Les déclarations de Trump sur l’intégration du Canada provoquent des moqueries à travers le pays.
- Justin Trudeau répond fermement aux suggestions de Trump: ‘Il n’y a pas une chance de neige en H—‘
Trump n’hésite pas à exprimer son désir de voir le Canada devenir le 51e État, affirmant que cela offrirait aux Canadiens des réductions d’impôts significatives et une couverture santé améliorée. Lors d’une récente apparition, il a insisté sur les avantages économiques d’une telle union, en promettant une réduction des impôts et une meilleure gestion des affaires.
Cependant, ces déclarations n’ont pas manqué de soulever des critiques, notamment de la part du candidat canadien d’extrême droite Pierre Poilievre, qui a averti des dangers de ces menaces sur la souveraineté canadienne. Il a déclaré que ces discours unissaient le peuple canadien dans la défense de leur indépendance.
Les commentaires polémiques de Trump ont également suscité des préoccupations chez d’autres politiciens canadiens, comme Mark Carney, qui a appelé à renforcer les dépenses militaires du Canada en réponse aux menaces perçues, qu’elles viennent de la Chine, de la Russie ou des États-Unis.