Don Braid : La lettre pro-Hamas qui a valu le licenciement du directeur du centre contre les agressions sexuelles de l’Université d’Arabe

Le bureau de la première ministre de l’Alberta, Danielle Smith, a participé à la décision de l’université

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Les cinglés sont vraiment en liberté au Canada.

Une lettre signée par des dizaines d’universitaires et diverses organisations ne se contente pas de nier que des femmes israéliennes ont été violées sexuellement par des terroristes du Hamas le 7 octobre. Elle affirme également que le Canada n’est pas une nation légitime.

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Le la directrice du centre pour les victimes d’agression sexuelle de l’Université de l’Alberta, Samantha Pearson, a été congédiée samedi pour avoir signé cette lettre.

Le bureau de la première ministre Danielle Smith a participé à la décision de l’université. Il s’agit d’un cas rare – peut-être unique – d’un fanatique idéologique de gauche qui paie un prix instantané dans n’importe quelle université canadienne.

Des personnes sensées au sein du gouvernement et à l’Université d’Alberta ont compris que nier les preuves vidéo de violences sexuelles perpétrées par le Hamas est un message tordu visant à envoyer les victimes d’agressions sexuelles sur le campus – en particulier les femmes juives.

Smith a déclaré sur X, anciennement Twitter : « Je suis sans équivoque d’accord avec la décision de l’Université de l’Alberta de licencier le directeur. Tous les espaces, y compris les campus universitaires, doivent être sûrs pour tous. L’antisémitisme, sous quelque forme que ce soit, ne doit pas être toléré.

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La lettre, lancée par deux élus, attaquait le chef du NPD, Jagmeet Singh, parce qu’il « répétait l’accusation non vérifiée selon laquelle les Palestiniens étaient coupables d’agression sexuelle ».

La plupart des victimes sont mortes ou captives, mais la lettre n’en parle pas.

Il s’agit d’un gros mensonge destiné à absoudre le Hamas de toute responsabilité dans la guerre. Notez qu’ils essaient de dire que les « Palestiniens » sont accusés de violences sexuelles, alors que quiconque y prête la moindre attention sait que c’est le Hamas qui a commis le massacre du 7 octobre.

Ces gens n’ont pas encore affirmé que le Hamas n’avait pas tué de personnes. Attendez-le. Dans cette lettre, ils n’ont même pas l’intégrité de nommer le Hamas.

Il a été approuvé par 41 organisations, 18 personnes de la « communauté de recherche » et 30 de la « société civile ».

Quatre signataires viennent de l’Université de l’Alberta : un professeur titulaire en éducation ; deux maîtres de conférences, dont un en études féminines et de genre ; et chercheur postdoctoral.

Un professeur d’informatique de l’Université de Calgary figure sur la liste. D’autres universitaires du Canada, des États-Unis et d’Europe se sont inscrits.

Le contingent canadien ne doit pas être confondu avec ses universités. Ce sont des groupes auto-admiratifs et auto-gonflés au sein de la majorité des universitaires sensés qui mènent leurs recherches et leur enseignement.

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Mais ils causent bien des ennuis à leurs écoles, et parfois à leurs syndicats.

Un syndicaliste a signé au nom de la section locale 54 du Syndicat des employés provinciaux de l’Alberta.

La section locale 54 a déclaré plus tard que cette personne ne voulait pas laisser entendre que le syndicat était d’accord avec la lettre. La timide retraite n’a pas permis de dire si la section locale était d’accord ou non.

Ce document enragé appelle à la démission les hommes politiques qui n’exigent pas un cessez-le-feu immédiat. Il affirme que tous les partis canadiens « déshumanisent les Palestiniens, facilitant le génocide mené par Israël contre eux ».

Une fois de plus, le 7 octobre et le Hamas ont été éradiqués par l’histoire révisionniste instantanée.

Il y a aussi un mépris généralisé à l’égard du Canada, le pays où bon nombre des signataires figurent sur la masse salariale du public.

La lettre commence ainsi : « Nous, soussignés, résidant dans ce qu’on appelle le Canada, exhortons les dirigeants canadiens. . .»

Il cite la déclaration d’un compagnon de voyage selon laquelle Expulsion de la députée provinciale Sarah Jama par le NPD de l’Ontario « expose la moralité situationnelle en faillite de la politique canadienne dans un pays colonial qui ne peut que soutenir la politique des colons blancs ailleurs comme condition de sa propre existence. »

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Ouf, nous sommes un mauvais petit soi-disant pays, entaché par des gens raisonnables de toutes nuances et origines qui veulent que cette horrible guerre prenne fin mais se souviennent très bien pourquoi elle a commencé.

Une partie de cette foule réclame également une « Intifada » canadienne – ou un soulèvement civil de masse – suite à une guerre dans un autre pays.

Ce n’est peut-être pas une coïncidence si les libéraux de Justin Trudeau sont désormais encore plus loin derrière les conservateurs. Le décompte est de 41 pour cent contre 27 pour cent, selon le dernier sondage de l’Institut Angus Reid.

Il y a plusieurs raisons, mais l’une d’elles pourrait être la clarté du chef conservateur Pierre Poilievre sur la crise Hamas-Israël.

Il a dit à propos du Hamas après l’attaque : « Quel genre d’organisation se livrerait à une violence aussi hideuse contre des personnes aussi manifestement innocentes, et le ferait de la manière la plus cruelle et la plus odieuse, puis la rendrait volontairement publique au monde entier ?

« C’est le mal dans sa forme la plus pure, et ce mal doit être vaincu. »

Juste quelques mots pertinents du soi-disant Canada.

La chronique de Don Braid apparaît régulièrement dans le Herald

X: @DonBraid

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