Deux personnes accusées après que la police d’Edmonton a saisi des Ferrari volées en Ontario

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La police d’Edmonton a porté des accusations contre un homme et une femme après que les policiers ont saisi deux voitures de sport Ferrari qui avaient été déclarées volées en Ontario plus tôt cette année et réimmatriculées en Alberta.

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Le 12 septembre, des agents de l’EPS du centre-ville ont arrêté un véhicule dans le secteur de l’avenue Jasper et de la 115e rue pour une infraction au code de la route et ont saisi un véhicule, a annoncé la police dans un communiqué de presse jeudi. Au même moment, la police a déclaré que les membres de l’Unité nord des vols d’automobiles de la GRC de l’Alberta avaient commencé à mener une enquête sur deux Ferrari immatriculées frauduleusement.

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La police a déterminé que la Ferrari saisie par l’EPS faisait partie de l’enquête.

« La GRC a appris que la Ferrari avait été déclarée volée en Ontario quelques mois plus tôt, qu’elle avait reçu un nouveau numéro d’identification frauduleux et qu’elle avait été réimmatriculée en Alberta », a indiqué la police dans le communiqué de presse.

Quelques jours plus tard, le 15 septembre, des agents de l’Unité nord des vols d’automobiles de la GRC de l’Alberta, avec l’aide d’ALERT et de la GRC de Beaumont, ont exécuté un mandat de perquisition dans une maison de la subdivision Royal Oak du comté de Leduc et ont saisi une autre Ferrari. La voiture a également été signalée comme volée en Ontario plus tôt dans l’année, a indiqué la police, et a reçu un nouveau numéro VIN frauduleux et a été réimmatriculée en Alberta.

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« La valeur combinée des deux véhicules, une Ferrari 488 2017 et une Ferrari F8 Tributo 2023, s’élève à près d’un million de dollars », a indiqué la police.

Sheldon Gaspard Poirier, 31 ans, un résident d’Edmonton, est accusé de quatre chefs d’accusation de possession de biens criminellement obtenus, de possession illégale de documents gouvernementaux, de possession d’une arme contrairement à un ordre, de non-respect des conditions de mise en liberté et de dissimulation frauduleuse.

Vicky Mander, 35 ans, également résidente d’Edmonton, a été accusée de deux chefs d’accusation de dissimulation frauduleuse et de deux chefs d’accusation de mise en circulation d’un faux document.

La police a déclaré que Poirier resterait en garde à vue tandis que Mander a depuis été libéré. Ils doivent tous deux comparaître devant le tribunal de Leduc jeudi.

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