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Jacques, Henri. « Les papiers d’Aspern. » Les papiers d’Aspern et autres contes. Éd. Michel Gorra. Pages 50-145. New York : Penguin Classics, 2014.
Le narrateur anonyme de l’histoire est un critique littéraire et éditeur américain. Les intérêts littéraires et professionnels du narrateur sont largement orientés autour du célèbre poète américain Jeffrey Aspern, décédé des décennies plus tôt. Le narrateur voyage d’Amérique à Venise, en Italie, car c’est là que vit une femme nommée Juliana Bordereau. Juliana, maintenant une très vieille femme, était l’amante de Jeffrey Aspern quand Aspern était vivant. Le narrateur pense que Juliana peut posséder des lettres d’Aspern, bien qu’elle ne semble pas disposée à s’en séparer ou à les montrer à d’autres personnes.
Le narrateur arrive chez Juliana et se présente sous un faux nom. La maison est somptueuse mais désolée et négligée. Les seules personnes à l’intérieur sont Juliana, sa petite-nièce d’âge moyen Tita et leur servante Olimpia. Sans révéler son identité ou son intérêt pour Aspern, le narrateur dit qu’il est un universitaire américain qui souhaite payer pour se loger dans la maison. Juliana accepte la proposition et facture un prix élevé au narrateur. Tita informe le narrateur que Juliana veut l’argent pour qu’elle ait de l’argent à laisser à Tita quand Juliana meurt.
Au cours des trois prochains mois, le narrateur ne fait aucun progrès pour tenter de gagner la faveur des Bordereau. Juliana et Tita sont très recluses. Le narrateur paie pour revitaliser le jardin extérieur de la maison, et un jour, il rencontre Tita dans le jardin. Il trouve que Tita est assez innocente et simple d’esprit. Il lui révèle certains éléments de sa véritable identité et exprime son intérêt pour Aspern. Peu de temps après, Juliana appelle le narrateur à converser avec lui. Il n’est pas clair pour lui si Juliana a discerné ses véritables motifs. Quelques jours plus tard, le narrateur et Tita partent ensemble en gondole. Il essaie d’enrôler Tita dans sa mission d’obtenir les lettres. Tita affirme l’existence des lettres et dit qu’elle essaiera d’aider le narrateur, mais elle dit aussi qu’elle est généralement incapable de désobéir à Juliana.
Plus tard, le narrateur informe Juliana qu’il est critique littéraire, éditeur et historien. Juliana répond en disant qu’il est faux de scruter le passé. Juliana présente alors au narrateur un portrait de Jeffrey Aspern, mais le narrateur prétend qu’il ne connaît pas Aspern. Finalement, Juliana tombe malade. Le narrateur envisage de fouiller sa chambre pendant qu’elle dort. Il considère d’abord l’idée comme moralement répugnante, mais il finit par céder à la tentation et cherche les lettres dans la pièce. Il le fait quand il semble que Juliana dort, mais Juliana le surprend en flagrant délit.
Le lendemain matin, le narrateur quitte la maison honteusement. Il décide d’abord que la seule chose morale à faire est de laisser les Bordereau tranquilles, mais son désir de lettres le ramène à la maison. Au moment où il arrive, Juliana est décédée. Tita propose le mariage au narrateur, disant que s’ils étaient mariés, Tita pourrait lui montrer les lettres sans scrupule moral. Le narrateur rejette la proposition, car la proposition l’a réveillé à l’immoralité et à la tromperie de sa mission. Cependant, son désir pour les lettres le ramène à nouveau à la maison. Il dit qu’il est prêt à accepter la proposition. Cependant, Tita l’informe qu’elle a brûlé les lettres. Le narrateur rentre chez lui en Amérique, et il ressent encore parfois un sentiment de nostalgie pour les lettres.
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