Des postes de police chinois présumés toujours ouverts au Québec, malgré les affirmations du ministre

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MONTRÉAL — Deux groupes communautaires de la région de Montréal faisant l’objet d’une enquête pour avoir prétendument hébergé des postes de police secrets du gouvernement chinois affirment qu’ils fonctionnent normalement.

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Leurs commentaires contredisent les affirmations faites la semaine dernière par le ministre fédéral de la Sécurité publique, Marco Mendicino, qui a déclaré à un comité parlementaire que la GRC avait fermé tous les prétendus postes de police secrets du pays.

La GRC affirme que son enquête sur les postes de police présumés de Montréal et de sa banlieue de la Rive-Sud, Brossard, au Québec, est en cours.

Mais les deux groupes chinois – Service à la Famille Chinoise du Grand Montréal et Centre Sino-Québec de la Rive-Sud – affirment que la police fédérale ne leur a pas demandé de fermer.

Ils ont déclaré vendredi dans un communiqué conjoint qu’ils avaient coopéré à l’enquête mais que la communication entre eux et la GRC avait cessé.

Les postes de police présumés sont décrits comme des avant-postes à l’étranger qui harcèlent les gens au nom du Parti communiste chinois, mais le

Le gouvernement chinois a démenti ces affirmations.

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