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Deux femmes d’Edmonton ont été arrêtées en vertu d’engagements de ne pas troubler l’ordre public pour terrorisme à leur retour au Canada à l’aéroport international Montréal-Trudeau vendredi.
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Helena Carson, 33 ans, et Dina Kalouti, 42 ans, ont été amenées en Alberta pour une enquête sur le cautionnement devant un tribunal provincial et ont été libérées avec un certain nombre de conditions.
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L’administration autonome du nord et de l’est de la Syrie (AANES), également connu sous le nom de Rojava, a publié une déclaration le 6 juillet annonçant le transfert des femmes aux autorités canadiennes à la suite d’une visite d’une délégation canadienne dirigée par Victoria Filler, directrice générale des opérations consulaires au ministère canadien des Affaires étrangères, et Rasta Daei, l’envoyé canadien en Syrie.
Ces femmes faisaient partie d’un groupe de 19 personnes que le Canada a accepté de ramener chez elles des camps de prisonniers gérés par les Kurdes dans le nord-est de la Syrie en janvier.
Les citoyens canadiens avaient été détenus pendant des années dans des camps de personnes déplacées dans une région maintenant contrôlée par les Kurdes Forces démocratiques syriennes.
Les 14 autres sont arrivés en avril. Les femmes et les enfants qui sont revenus vendredi étaient temporairement portés disparus, ni leurs avocats ni le gouvernement canadien ne semblant au courant de ce qui leur était arrivé depuis plusieurs jours.
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L’un de leurs avocats a déclaré plus tard que les femmes et les enfants avaient été détenus par des gardes kurdes qui ne leur auraient pas permis de voyager et de monter à bord de l’avion à ce moment-là.
L’avocat d’Ottawa Lawrence Greenspon, qui a plaidé pour le rapatriement des 19 Canadiens devant la Cour fédérale, a déclaré que le retour des cinq derniers est une très bonne nouvelle.
« J’ai parlé à leurs familles ici au Canada et ils sont aux anges, ravis et tout simplement fous de joie », a-t-il déclaré à la Presse canadienne.
Dans un communiqué, Affaires mondiales Canada a exprimé sa gratitude aux autorités de la région pour leur coopération dans des conditions de sécurité difficiles et a remercié les États-Unis pour leur aide au rapatriement des Canadiens.
« Pour des raisons de confidentialité, nous ne pouvons pas fournir d’informations sur les personnes rapatriées, et pour des raisons de sécurité opérationnelle, nous ne pouvons pas partager les détails du rapatriement », indique le communiqué, ajoutant que c’est une infraction grave pour quiconque quitte le Canada pour soutenir sciemment un terroriste. groupe.
« Ceux qui se livrent à ces activités seront confrontés à toute la force de la loi canadienne. »
– Avec des fichiers de la Presse canadienne