Des cas suspects de monkeypox à Montréal font l’objet d’une enquête

Vinh a déclaré qu’il s’attend à obtenir les résultats du laboratoire fédéral de microbiologie de Winnipeg vendredi.

Cependant, la Santé publique de Montréal a refusé de commenter tard mercredi un reportage de Radio-Canada selon lequel au moins 13 cas suspects de monkeypox font l’objet d’une enquête dans la ville.

Il n’y a pas de cas confirmés de monkeypox, a déclaré le porte-parole de l’agence, Jean Nicolas Aubé, ajoutant qu’il ne pouvait faire aucun autre commentaire.

L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) a publié une déclaration dans la Gazette de Montréal indiquant qu’elle est « consciente et surveille de près la situation actuelle concernant la déclaration des cas de monkeypox en Europe. Aucun cas (au Canada) n’a été signalé à l’ASPC pour le moment.

Monkeypox est une maladie virale rare qui commence généralement par des symptômes tels que fièvre, maux de tête, maux de dos et fatigue, puis évolue vers une éruption cutanée sur le visage et le corps. ASPC

dit le gonflement ou l’élargissement des ganglions lymphatiques

qui accompagne le monkeypox le distingue de la variole. La période d’incubation est de sept à 17 jours et la plupart des infections de monkeypox durent de deux à quatre semaines, dit-il.

L’agence note également que le vaccin contre la variole, qui était régulièrement administré aux Canadiens nés avant 1972, protège contre la variole du singe.

La variole a été éradiquée

en 1977.

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