Déprimé depuis la pandémie, le perroquet du musée d’Halifax expédié en Ontario

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HALIFAX — Un perroquet de Nouvelle-Écosse qui montre des signes de dépression depuis la pandémie s’installe en Ontario pour changer de décor et se faire de nouveaux amis.

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Merlin est la mascotte du Musée maritime de l’Atlantique à Halifax depuis 2006, mais sa routine a été perturbée lorsque la COVID-19 est apparue en 2020 et que le musée a fermé ses portes.

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Un communiqué de presse du musée indique que le manque d’interaction avec les visiteurs a conduit Merlin à se couper les plumes, signe de stress, et ce comportement a persisté même après la reprise complète des opérations du musée.

Après consultation avec un vétérinaire, il a été décidé que Merlin quitterait Halifax le 15 avril pour rejoindre un troupeau d’aras – de grands membres de la famille des perroquets – au Safari Niagara à Fort Erie, en Ontario.

Le communiqué indique que Merlin fera partie d’une famille d’aras qui passent leurs journées dans un « environnement luxuriant, sécurisé et stimulant ».

Le musée affirme que Merlin, 22 ans, est « assez bavard », avec les mots « cracker » et « cache-cache » faisant partie de son vocabulaire habituel, et malgré sa dépression, il « rit régulièrement ».

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