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Lorsqu’Antonia Dillon prend un emploi d’étudiante en tant que conseillère auprès de ses pairs dans son collège, elle se retrouve en séance de conseil avec Jazz Luther, un punk qui semble grossier et intolérable. Antonia respecte les règles; elle s’habille de façon conservatrice et se consacre à obtenir de bonnes notes à l’école. Le jazz, quant à lui, porte du rouge à lèvres noir, a des piercings et des tatouages, et se rebelle contre tout. Ces deux adolescents apparemment opposés semblent n’avoir rien en commun, mais au cours de leurs séances de conseil, ils se retrouvent à s’ouvrir l’un à l’autre et à devenir amis. Antonia et Jazz acquièrent toutes deux une maturité émotionnelle en apprenant à se comprendre et à s’entraider pour faire face à leurs problèmes. Chacun aide l’autre à voir ses propres problèmes sous un angle différent, et à la fin du roman, ils ont tous deux grandi de manière surprenante.
Antonia et Jazz ont des parcours aussi différents que le jour et la nuit, et leurs relations avec leur famille colorent leur façon de réagir au monde. Antonia Dillon semble être heureuse et bien ajustée : elle réussit bien à l’école, elle ne remet jamais en question l’autorité et correspond donc à la définition socialement acceptée de la normalité. Le jazz ne correspond pas à la définition socialement acceptée de la normalité. Elle s’habille de manière radicale, elle se rebelle contre l’autorité et elle semble être en colère contre tout le monde. Sous leurs dehors, cependant, ces deux filles ont des douleurs et des désirs secrets qui les unissent dans un lien commun. À la fin du roman, le terme « normal » prend un nouveau sens, et la façon dont quelqu’un regarde et s’habille n’a plus beaucoup de sens.
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