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Lorsque le fiancé de Mathilde Donnay est déclaré mort au combat, elle se lance à sa recherche ainsi que celle de quatre autres soldats abandonnés par leur propre armée. Bien que Mathilde ne puisse pas marcher, elle sait se débrouiller seule, est intelligente et débrouillarde. Au fil d’entretiens, de lettres, de télégrammes et de visites de lieux importants, Mathilde recueille des informations qui lui permettent de découvrir où se trouve son amant, Manech. Le lecteur doit suivre les indices comme le fait Mathilde pour découvrir ce qui s’est passé entre le samedi soir et le lundi matin de janvier 1917.
La quête de Mathilde commence lorsqu’elle est contactée par un homme (Daniel Esperanza) qui dépérit à cause de la grippe espagnole dans un hôpital près de chez elle. Il lui dit que son fiancé n’a pas été tué au combat comme on le lui a dit. Il était l’un des cinq hommes qui ont été condamnés pour automutilation, envoyés au front et poussés dans un no man’s land entre les tranchées. C’était à un endroit appelé Bingo Crepuscule. Son fiancé est le plus jeune. Les autres sont un fermier fort et calme, un pacifiste syndicaliste, un proxénète et un charpentier. Chacun avait écrit une lettre à la maison, et Esperanza donne les lettres à Mathilde. En utilisant les noms et les lettres qu’Esperanza lui fournit, Mathilde tente de contacter les proches des quatre soldats restants. Elle engage également un avocat et un détective privé et passe une annonce dans le journal. La correspondance qui suit lui donne un aperçu des événements survenus du 6 au 8 janvier 1917. Chaque lettre d’une veuve ou d’un camarade soldat, chaque visite dans un cimetière ou sur un champ de bataille, livre un indice supplémentaire.
L’avocat de Mathilde tente de la convaincre qu’elle a tort, que les soldats ont tous été graciés et renvoyés au combat, que son fiancé a été tué au combat, mais Mathilde s’accroche à ce qu’elle sait être vrai. Elle trouve un timbre dont il est question dans l’une des lettres. Si le timbre est vrai, la lettre est vraie, se dit-elle, et son amant était vivant le dimanche matin. Elle reçoit une lettre d’une femme qui a eu une liaison avec le meilleur ami de son mari, un autre soldat et l’un des condamnés. La lettre à Mathilde l’aide à découvrir où se trouve une paire de bottes allemandes qui ont été échangées plusieurs fois entre les soldats de Bingo. Leur dernier porteur est un homme qui aide Manech dans le no man’s land, le portant sur son dos. Mathilde parvient à déchiffrer le code d’une lettre d’un des condamnés à sa femme, et grâce à cela, elle parvient à trouver l’homme qui porte tous les secrets qui mènent à Manech. Une autre femme ne répondra aux questions de Mathilde qu’une fois qu’elle aura tué tous les officiers français qui ont participé au meurtre de son amant. Une fois son travail terminé, elle est arrêtée et exécutée, mais elle dit à Mathilde tout ce qu’elle sait, et la quête de Mathilde est presque terminée.
D’anciens soldats se souviennent de pardons qui n’ont jamais été accordés et d’un homme arrivant à l’hôpital avec un gant rouge, cadeau d’un soldat compatissant à son fiancé. Tandis que Mathilde mène ses autres vies – peindre, enseigner, construire une nouvelle maison – elle garde sa vie avec Manech et toutes les lettres dans une boîte en acajou, craignant de ne pas le trouver mais espérant obstinément qu’elle le trouvera. À chaque nouvelle révélation, le lecteur découvre le mystère avec Mathilde et partage sa joie de retrouver quelqu’un qui est presque, mais pas tout à fait, son fiancé. Son amour pour lui n’a jamais faibli. Bien que de nombreux sentiments anti-guerre soient exprimés dans le roman, l’idéal dominant est celui d’un amour durable qui peut vaincre la guerre, la mort et la tristesse.
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