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De Beyrouth à Jérusalem est l’histoire du temps de Thomas Friedman en tant que correspondant de nouvelles d’abord à Beyrouth puis à Jérusalem. Friedman apprend beaucoup en servant dans les deux endroits. Lorsqu’il prend le travail à Jérusalem, il conduit de Beyrouth à Jérusalem. À bien des égards, les deux villes sont des mondes à part, mais à bien des égards, elles sont très similaires. Friedman dit que ce livre décrit son voyage entre ces deux mondes et les problèmes et expériences qu’il a dans chacun.
Friedman n’est pas journaliste de formation. Il se spécialise en études moyen-orientales et obtient une maîtrise à Oxford. Pendant son séjour, il écrit des articles qui lui permettent de décrocher un emploi chez United Press International après l’obtention de son diplôme. Friedman s’intéresse au Moyen-Orient en tant qu’étudiant. Il est extrêmement impressionné par Israël après la guerre des Six jours et passe ses étés au lycée dans un kibboutz au sud de Haïfa. Il saute sur l’occasion d’être le correspondant de Beyrouth lorsque le poste se libère après quelques mois à l’UPI. Au bout de deux ans, il devient le correspondant à Beyrouth du New York Times. Il reste à Beyrouth jusqu’en juin 1984, date à laquelle il est envoyé à Jérusalem où il restera jusqu’en 1987.
Friedman est le premier Juif à servir au Liban et il n’a jamais vraiment de problèmes là-bas à cause de sa judéité. Il est objectif dans sa couverture de l’actualité et les Arabes attendent cela de lui et le respectent pour cela. S’ils pensent qu’il n’est pas assez objectif, ils le lui font savoir. Friedman est assez franc sur ses expériences à Beyrouth, de l’explosion de son immeuble peu après son arrivée à l’utilisation de réparateurs. Son histoire permet aux gens de savoir comment les nouvelles sont couvertes à Beyrouth quand il n’y a pas de gouvernement officiel pour confirmer les faits et comment les nouvelles sortent quand il y a des combats et des pannes de courant. Friedman emmène en fait le lecteur dans les coulisses avec lui en couvrant les différents reportages et en faisant savoir au lecteur qui sont les différents personnages et comment ils pensent.
Lorsque Friedman est transféré à Jérusalem, il s’attend à ce qu’Israël soit l’Israël dont il se souvient du lycée. Il constate que ce n’est pas le cas et que le pays est beaucoup plus américanisé qu’il ne s’en souvenait. Friedman s’emmêle dans ce que signifie être juif en Israël et en quoi cela diffère d’être juif aux États-Unis. Friedman semble quelque peu déçu de la situation en Israël surtout une fois que l’intifada commence et il observe les réactions des soldats israéliens.
Friedman utilise sa décennie au Moyen-Orient pour donner sa propre évaluation des problèmes qui existent là-bas et ce qu’il faudra pour les résoudre. Quelqu’un doit parler à tous les participants dans leur propre langue, pour ainsi dire, et personne n’a voulu le faire. Il a aussi sa propre proposition de solution au problème israélo-palestinien qu’il présente sous la forme d’un discours dans l’Épilogue.
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