Dans Ces filles, l’espoir est un résumé musculaire et une description du guide d’étude


Dans Ces filles, l’espoir est un muscle, un livre de non-fiction de Madeleine Blais, raconte une année dans la vie d’une équipe de basket-ball de lycée, les Amherst Lady Hurricanes. Commençant à un point bas d’étouffement lors d’un barrage régional, le livre suit une année d’entraînement et de changements qui ont conduit à une victoire retentissante lorsque l’équipe a remporté le championnat d’État.

Afin de gagner, les filles ont traversé un flux constant de petites victoires tout au long de l’année. Cela s’est produit sur et en dehors du terrain. Sur le terrain, ils sont entrés dans les play-offs presque invaincus. Une formation rigoureuse a contribué en partie à ce succès. Le reste des victoires est venu de décisions plus petites et plus personnelles prises par les filles. L’adolescence est pleine d’anxiété et de changement d’allégeance, car chaque personne décide quel genre de personne elle veut être. Les deux capitaines d’équipe, Jamila Wideman et Jen Pariseau, s’étaient éloignées l’une de l’autre. Une fille, Patri Abad, a déménagé. Une autre, Rita Powell, a été traquée par un harceleur. Kim Warner a perdu espoir et a dû être confrontée au milieu du match pour se remettre la tête dans le plat. Quelques-uns d’entre eux ont envisagé de démissionner. Dans chaque cas, ces problèmes ont été résolus par l’une des filles qui a demandé de l’aide à un membre de l’équipe, qu’elle le veuille ou non. La connexion qu’ils avaient va au-delà de ce que l’on voit habituellement sur le terrain. Cependant, ce sont ces liens émotionnels qui se sont intégrés dans le travail d’équipe qui leur a permis de gagner.

L’auteur brosse un tableau de la région que les filles appellent chez elles, centrée autour d’Amherst, dans le Massachusetts. C’est une ville originale, nichée entre trois grandes universités et au-delà, des terres agricoles. Les résidents sont un mélange d’intellectuels avec peu de connaissances pratiques et de ruraux avec une expérience mondaine mais peu de connaissances littéraires. Blais explique ces détails pour décrire le parcours qui a forgé ces filles. C’est une région si unique que c’est peut-être le seul type d’endroit qui pourrait les créer.

Le livre met en lumière un côté sous-estimé de l’athlétisme : celui du sport féminin au lycée. Alors que les équipes de garçons ont beaucoup plus de fans et de supporters, les athlètes féminines doivent souvent se battre pour être acceptées. L’auteur prétend qu’au moins à l’époque de l’histoire de Hurricain, le basketball féminin était marginalisé et considéré comme inférieur. C’était aussi avant l’époque des équipes féminines professionnelles de basket-ball, et de nombreux grands collèges n’avaient même pas d’équipes féminines de basket-ball.

Les filles n’avaient pas un avenir solide dans le sport, car il y avait peu d’opportunités en dehors du lycée. Cela a exercé une pression indue sur eux pour qu’ils réussissent tant qu’ils le pouvaient, car il n’y aurait pas d’autre chance.



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