Critique des Gardiens de la Galaxie de Marvel

Critique des Gardiens de la Galaxie de Marvel

Dois savoir

Qu’est-ce que c’est? Une aventure spatiale en solo pleine de choix moraux.
Attendez-vous à payer : 60 $/50 £
Développeur: Eidos Montréal
Éditeur: Square Enix
Révisé le : Windows 10, GeForce GTX 1070, processeur Intel Core i7-9700, 16 Go de RAM
Multijoueur ? Non
Date de sortie: 26 octobre
Relier: Site officiel

Je ne m’attendais pas à autant enraciner pour les Gardiens de la Galaxie. Il a été alourdi par tant d’ondes stagnantes au cours de son cycle de pré-sortie. L’ombre de Marvel’s Avengers, la tentative de Square Enix en 2020 de transmuter la supériorité médiatique totale de l’univers cinématographique Marvel en un jeu vidéo coopératif vivant, était particulièrement importante. La distribution de fac-similés hollywoodiens de ce jeu – tous ces faux Chris Hemsworths – a laissé les clients glacials, et bien que le récit de base soit décent, personne n’a apprécié la mouture de la monnaie dénuée de sens.

Guardians vient du même éditeur et semble être composé du même stock, sauf que cette fois, il s’agit d’une campagne solo et le joueur est limité au membre le moins intéressant de la troupe, Star-Lord. Il y a une froideur omniprésente testée par la mise au point qui corrode tant de produits qui portent le nom de Marvel en 2021, et je n’étais pas optimiste quant au fait qu’Eidos Montréal serait capable de surmonter la souillure.

(Crédit image : Square Enix)

C’est jusqu’à ce que je résolve un casse-tête impliquant un lama de l’espace psychédélique que j’avais besoin d’amadouer pour qu’il mâche des fils sur le vaisseau. La bête était soit enchantée, soit repoussée par la voix chantée de chaque membre de l’équipage – il se rapprochait de la mélodie de Star-Lord, fuyait celle de Rocket Raccoon, etc.  » jusqu’à ce que notre lama mercuriel soit enfin en place. Guardians regorge de séquences qui capturent le côté le plus étrange, le plus drôle et le plus léger de l’étendue cosmique de Marvel. Je suis tombé sur un golden retriever soviétique en vol d’essai doté d’une hyper-intelligence céleste, et dans un moment de faiblesse, il m’a avoué à quel point son ancien intellect de chien chétif lui manquait, ces après-midi interminables à courir après des balles de tennis sur la pelouse. Il y a un crochet gauche qui brise le quatrième mur, tiré directement du livre de jeu d’Arkham, lié à une torsion incroyable qui m’a pris au dépourvu de manière hilarante. Enfer, au plus profond des actes finaux du jeu, j’ai regardé le Rocket Raccoon énervé en permanence faire face à son seul traumatisme persistant grâce aux encouragements et au soutien de ses coéquipiers. La scène a fonctionné comme une meilleure récompense émotionnelle que tout ce que j’ai vu le personnage faire au cinéma. Guardians of the Galaxy a le cœur au bon endroit… si seulement le jeu lui-même ne sabotait pas constamment ces efforts avec un jank technique épuisant.

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