jeudi, décembre 19, 2024

Critique de Roush : les clones sont désormais des copies imprimées dans la suite d’Orphan Black, Echoes

Note de Matt :

Envoyer les clones ? Ils sont déjà là.

Dans le monde de la télévision, on les appelle des spin-offs. On les appelle aussi reboots, remakes ou suites, ces derniers s’appliquant à Orphan Black : Les échosqui met à jour le film culte de science-fiction primé aux Emmy Awards sur une expérience de clonage et les conspirations associées. Échos résonne avec des rappels à la série précédente (2013-17) – bien que vous n’entendrez que des références, mais ne verrez jamais, son personnage principal, Sarah Manning (Tatiana Maslany) et ses ramifications scientifiques. Je suis sûr qu’elle n’est pas du tout surprise que d’ici les années 2050, où Échos La science a progressé jusqu’à l’impression 4D d’organes vitaux (idéal pour les transplantations humanitaires !) et, comme nous l’apprendrons bientôt, elle est capable de dupliquer des êtres humains à grande échelle, bien qu’avec des souvenirs flous de leur matériel source.

L’une de ces créatures, qui traverse la plus extrême des crises existentielles, est Lucy, désorientée (une Krysten Ritter naturellement malheureuse), qui déclare : « Je dois découvrir qui j’étais pour protéger qui je suis. » Sa quête, qui prend la forme d’un thriller de poursuite violent, finit par associer Lucy à d’autres « imprimés », dont l’adolescente irrévérencieuse Jules (Amanda Fix, une actrice remarquable aux allures de Jenna Ortega), avec qui elle partage un lien obsédant.

L’histoire pleine de rebondissements contient des échos familiers de Frankenstein (des visionnaires jouant Dieu) et « La patte du singe » (souhaitant que ses proches reviennent d’entre les morts, quelles qu’en soient les conséquences). Et, comme dans tout genre, on y retrouve un scientifique bien intentionné (une Keeley Hawes modérée) qui a des raisons profondément personnelles d’imprimer des gens, et un milliardaire fou et génial (James Hiroyuki Liao) désireux de pervertir cette découverte à ses propres fins néfastes.

L’original Orphelin noir c’était plus amusant, avec un sens de découverte ludique alors que Sarah Manning rencontrait ses clones colorés et parfois même échangeait ses personnages. Échos« Les êtres fabriqués sont, pour des raisons compliquées, moins interchangeables, et si la suite est une méditation plus austère sur la perte, la mortalité et les possibilités et les pièges de la renaissance, la première saison se construit vers des secousses climatiques choquantes, implorant le renouveau.

Orphan Black : Échos, Première de la série, Dimanche, 23 juin, 10/9c, AMC et BBC America

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