J’ai un petit œil perçant sur Atlas Fallen depuis un moment maintenant, à peu près depuis que j’ai pris une bande-annonce il y a plusieurs lunes. L’intérêt immédiat a été aidé par le fait que cela a été mis en place par les développeurs de Deck 13 Interactive (ils La montée subite renommée) et publié par Focus Entertainment.
Atlas Fallen est une aventure d’action à la troisième personne dans un monde ouvert qui propose un gameplay coopératif sans interruption. Alors, est-ce digne de votre temps ? Ou vaut-il mieux attendre que quelque chose d’autre se profile à l’horizon ? Eh bien, c’est ce que je veux vous dire, alors venez avec moi dans un monde de sable et de combat !
L’histoire est toujours nécessaire dans ce genre de jeux, et heureusement, Atlas Fallen vous a couvert ici. Nous sommes sans nom au début de l’histoire, un esclave de personne, là pour travailler et être jeté comme un chiffon sale. Du moins, c’était notre destin jusqu’à ce que nous trouvions un étrange Gauntlet, transformé en Gauntlet Bearer. Avec le Gauntlet vient une voix, Nyaal, et nous sommes alors mis sur une voie qui va nous conduire à un conflit avec le monde établi, gouverné par un dieu appelé Thelos.
En cours de route, nous trouverons toutes sortes d’alliés et d’ennemis, et prendrons notre Gauntlet de force en force, en l’améliorant et en le réparant. Et à mesure que ce Gauntlet devient plus fort, nous aussi, mais aussi les ennemis auxquels nous sommes confrontés, les Wraiths. La scène est prête pour une confrontation épique, et même si je ne vais pas gâcher l’histoire, cela m’a permis de jouer jusqu’à la fin amère.
La présentation est, dans l’ensemble, très bonne en effet. Il n’y a rien de tel que de grimper au point culminant que vous pouvez trouver et de contempler avec admiration la taille du monde. En fait, dans Atlas Fallen, vous pouvez à peu près aller n’importe où à l’intérieur. Si vous pouvez voir quelque chose, vous pouvez généralement vous y rendre, et avec environ un million de choses différentes à ramasser, les voyages à travers le monde sont toujours intéressants. Des châteaux aux dunes de sable et aux déserts, des marécages aux villes souterraines, les endroits à visiter ne manquent pas.
La conception des spectres auxquels nous sommes confrontés est également toujours intéressante, allant des petits types d’oiseaux ennuyeux jusqu’aux spectres de niveau Elite qui ont leurs propres noms ; la vaste gamme de designs est incroyable à voir. Bien que celui qui a inventé les ennemis Shellbasher soit maintenant rayé de ma liste de cartes de Noël pour toujours!
Atlas Fallen aide en s’assurant que la caméra est réglable à l’infini pour vous donner la meilleure vue de l’action. Dans l’ensemble, cela fonctionne très bien. Cependant, il a parfois du mal à suivre la vitesse du combat, en particulier lorsqu’il combat des ennemis aériens comme le Tailwhipper. La conception de votre personnage change également constamment tout au long du jeu, à mesure que vous trouvez ou achetez de nouvelles armures. Cela signifie que les cinématiques sont toujours différentes, selon ce que vous portez.
Et de plus, alors que la voix d’Atlas Fallen est très bonne, l’écriture l’est moins – on a parfois l’impression qu’une IA a été invitée à proposer un dialogue fantastique. Un personnage en particulier n’arrête pas de dire « pour ainsi dire » et c’est très ennuyeux, même lorsqu’un autre PNJ lui enlève le mickey pour cela.
Atlas Fallen propose deux volets principaux dans son arsenal : le combat et l’exploration. Maintenant, dans l’état actuel des choses au début, nous sommes tout à fait banals, mais dès que nous obtenons le Gauntlet, les choses commencent à changer. Nous commençons par un double saut, gagnant encore de nouvelles pièces et capacités, ajoutant un tiret aérien à la liste des capacités. Cela en soi peut être amélioré pour permettre de franchir d’énormes distances dans les airs. On gagne aussi la capacité de glisser sur le sable, comme si on skiait, ce qui rend les déplacements très amusants. Enchaîner un toboggan, un double saut et un plané pour combler un vide et accéder à de nouvelles zones est toujours exaltant, et le mécanisme de traversée a été l’une de mes parties préférées du jeu.
En regardant autour de vous dans des endroits difficiles d’accès, vous découvrirez des coffres à trouver, des points de vue à apprécier, qui montreront plus d’emplacements sur la carte, ainsi qu’une pléthore de PNJ avec des missions à entreprendre. Ceux-ci peuvent aller de tuer des spectres massifs à trouver certains objets. Les choses à faire ne manquent pas, c’est sûr.
Maintenant, combattez, et il y a beaucoup de très bonnes idées trouvées dans Atlas Fallen. Dans un état d’esprit agressif, il existe un mécanisme appelé élan – tant que vous continuez à attaquer, la jauge d’élan se construit. Et chaque fois qu’une autre section de la barre est complète, elle « monte » vos armes, les rendant plus puissantes et plus grandes. Cette barre continue de se remplir jusqu’à ce que vous choisissiez de « briser » vos ennemis, ce qui les cristallise et leur inflige une énorme quantité de dégâts.
Chaque ennemi que vous combattez a une barre de santé, comme vous vous en doutez. Alors que les petits ennemis n’ont qu’une seule barre, le plus grand lot est composé de plusieurs parties du corps; chaque partie avec sa propre barre de santé. Pour vaincre ces ennemis, chaque partie du corps doit être détruite, et dans une belle touche, détruire certaines parties du corps rendra certaines attaques plus faibles, ce qui le rendra un peu plus facile si vous enlevez d’abord la queue d’un ennemi, par exemple. Lorsque vous voyez une barre de santé ou une partie du corps entourée d’une ligne bleue, l’éclatement détruira la partie du corps pour vaincre tout l’ennemi.
La défense est une autre région où le combat brille. Dans un changement par rapport à la manière normale dont ces choses se passent, si une attaque d’un ennemi a un flash rouge, alors elle peut être parée ; agir en séquence cristallisera à nouveau votre ennemi, vous permettant d’obtenir quelques coups gratuits. Les éclairs bleus de vos ennemis signifient que l’attaque ne peut pas être parée et doit être évitée. Comme incitation supplémentaire, les attaques bleues sont connues sous le nom de draineurs d’élan – si vous êtes touché par elles, elles réduiront la barre d’élan, vous rendant à nouveau plus faible. Avec moi jusqu’ici ?
Verrouiller les ennemis dans Atlas Fallen est une très bonne idée, mais se concentrer sur certaines parties est encore mieux. L’un des pires ennemis que vous affronterez ne vous attaque pas directement, mais à la place, il vole en soignant tout le reste, annulant tout votre travail acharné. Évidemment, celui-là doit passer en premier! Une tactique bon marché que beaucoup d’adversaires plus gros utilisent tout au long d’un combat consiste à invoquer beaucoup de ces petits gars pour les aider, et pendant que vous vous concentrez sur un gros ennemi, ils peuvent vous réduire assez rapidement. Gardez votre esprit sur vous et les yeux à l’arrière de votre tête est mon conseil.
Heureusement, au fur et à mesure que nous traversons Atlas Fallen, nous obtenons de nouveaux emplacements sur le Gauntlet pour y insérer des pierres d’essence, offrant de nouvelles capacités. Nous avons également une variété d’idoles à trouver, et celles-ci nous permettent de nous soigner au combat. L’idole est livrée avec un certain nombre de charges de guérison par défaut, et lorsqu’elles sont parties, la seule façon de charger l’idole est de continuer à attaquer, ce qui se traduit par des charges de guérison supplémentaires. Les pierres d’essence peuvent modifier le fonctionnement de certaines capacités et même ajouter de nouvelles attaques. accessible en tirant sur le bouton LT et un bouton de visage.
Si cela semble compliqué, c’est difficile à expliquer, mais la façon dont Atlas Fallen vous facilite et explique les mécanismes donne l’impression que cela ressemble à une seconde nature. Dans l’ensemble, le combat est une partie très bien exécutée du jeu.
La meilleure chose est cependant lorsque vous vous heurtez à un adversaire que vous ne pouvez pas vaincre; et c’est très possible car la difficulté est assez raide. Mais tout n’est pas perdu car si vous avez un ami capable et désireux de vous aider, Atlas Fallen propose un gameplay coopératif complet sur une base d’abandon et d’abandon. Si vous avez juste besoin d’aide pour un combat, c’est bien, mais si vous voulez explorer et trouver des choses ensemble, c’est également possible. Les seules choses qui changent avec le jeu coopératif sont que vous ne pouvez pas sauvegarder manuellement sur une enclume, et que le voyage rapide entre les enclumes ne peut être effectué que dans la même section de la carte. Pas de pincement dans d’autres domaines lorsque vous jouez ensemble ! Le gameplay coopératif fonctionne à merveille, sans ralentissement ni décalage à voir.
Maintenant, qu’en est-il des problèmes ? Eh bien, comme je l’ai dit en haut, combattre des ennemis aériens peut être un peu hasardeux, tandis que s’attaquer à de gros ennemis dans des espaces restreints provoque un effondrement de la caméra. Très souvent, l’ennemi reste coincé à l’intérieur d’un bâtiment. Cela signifie généralement que vous ne pouvez pas les frapper, mais ils n’ont aucun problème à vous frapper.
Il est également étrange que certains ennemis plus grands aient des zones très définies, et donc même si vous êtes au milieu d’un combat, s’ils sortent de leur zone, ils disparaîtront, puis réapparaîtront en pleine santé. Un maraudeur dans la dernière zone m’a fait cela trois fois de suite jusqu’à ce que je reste immobile et laisse l’ennemi venir à moi à chaque fois. Ce sont des ennuis qui – bien qu’ennuyeux – n’ont jamais gâché mon plaisir.
Dans l’ensemble, Atlas Fallen est un jeu brillant. Ce n’est pas parfait, mais la perfection est ennuyeuse. Les jeux doivent avoir du caractère pour rester dans la mémoire, et Atlas Fallen l’a à la pelle. Le tout est plus grand que la somme de ses parties, et il est donc facile à recommander.
Si vous êtes prêt pour une aventure d’action épique à la troisième personne, ne cherchez pas plus loin qu’Atlas Fallen.