Des rumeurs de divorce entourent le prince Harry et Meghan Markle, exacerbées par des tensions au sein de leur charité commune. Harry a quitté l’organisation après un conflit interne, impliquant des accusations de racisme et de harcèlement contre la présidente, Sophie Chandauka. Cette crise a conduit à des départs de membres clés et a suscité des préoccupations concernant l’impact sur les initiatives en faveur des personnes vivant avec le VIH en Afrique. Une enquête est en cours pour évaluer les circonstances de cette situation.
Rumeurs de Divorce et Tensions Familiales
Le prince Harry a récemment alimenté des spéculations concernant son mariage suite à sa décision inattendue de quitter sa propre organisation caritative. Selon des sources proches, la tension croissante entre Harry, âgé de 40 ans, et sa femme Meghan Markle, 43 ans, a joué un rôle déterminant dans cette décision surprenante. Un observateur a déclaré : « Le tumulte autour de son mariage a clairement un impact sur lui, entraînant des choix précipités. L’image est plus complexe, et plus les différends avec Meghan persistent, plus les risques de décisions irrationnelles comme celle-ci augmentent. »
Conflits au Sein de la Charité
Harry a cofondé la charité avec son ami, le prince Seeiso du Lesotho, qu’il a rencontré lors d’une visite en 2004. Cette initiative, qui signifie « ne m’oublie pas », a été créée en hommage à leurs mères respectives. Cependant, la situation a pris une tournure dramatique lorsque les co-fondateurs ont décidé de soutenir les administrateurs de l’organisation, qui avaient récemment démissionné à cause d’un conflit avec la présidente du conseil, Sophie Chandauka. Cette dernière a contre-attaqué avec des accusations de racisme, de harcèlement et de misogynie, déclenchant une crise au sein de la charité.
La querelle a été exacerbée par la décision de transférer les activités de collecte de fonds en Afrique, ce qui a poussé plusieurs membres clés à quitter l’organisation. Dr. Chandauka a souligné qu’il y avait eu un « coup de théâtre » au sein de la charité, mentionnant une direction « faible » et des abus de pouvoir. Elle a aussi critiqué ceux qui se considèrent au-dessus des lois et jouent le rôle de victimes tout en utilisant les médias. « Cette charité n’est pas un projet de vanité, et nous ne serons pas intimidés », a-t-elle affirmé. Pendant ce temps, Seeiso a exprimé son engagement à agir avec intégrité et à soutenir d’autres femmes dans le besoin.
Enfin, il a été rapporté que Dr. Chandauka envisageait des actions judiciaires contre les administrateurs, tandis qu’une déclaration conjointe de Harry et Seeiso a exprimé leur tristesse face à la dégradation des relations au sein de la charité. « C’est dévastateur que la relation entre les administrateurs et la présidente du conseil se soit détériorée au point de créer une situation intenable », ont-ils déclaré. La Commission des œuvres de charité a confirmé qu’une enquête était en cours pour examiner les circonstances entourant cette crise, qui a des implications pour ceux vivant avec le VIH et le sida en Afrique.